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Sujet: Re: nash ≡ +1 202-674-5239 Mer 9 Nov - 9:23
Emma
Petite question ! Tu n'aurais pas besoin d'un petit câlin pour surmonter la défaite ? N'oublie pas notre pari (a)
Sujet: Re: nash ≡ +1 202-674-5239 Sam 12 Nov - 20:24
Inconnu
N'a-t-on jamais dit que parier pouvait nous emmener à des fins incontrôlables ? Vous qui doutez des pratiques de votre frère, attention de ne pas devenir comme lui.
Parce que si les gens viendraient pas te voir, tu t’en balancerais encore. C’est bien ce que tu dis ! Tu aurais pu arrêter tout ça si tu voulais, mais non y’a que ton image dont tu te soucis réellement là !
Saturday the 14th, 4h43 Son monde venait de s’écrouler. Mais peu importait à quel point, elle se doutait que quoiqu’elle pouvait endurer. Ça n’aurait jamais rien de comparable avec ce que Rhett devait vivre en cet instant. Il n’avait pas été violent, il n’avait même pas eu le temps de songer à l’être qu’on l’avait brutalisé de la pire des manières. Comme s’il avait été un putain d’animal. Il n’avait pourtant tué, violé ou blessé physiquement personne. Rien fait qui justifiait le traitement auquel il avait eu droit. Elle était sortie du poste, son avocat à sa suite. Il lui parlait mais elle ne parvenait à écouter un traitre mot de ce qu’il lui disait et bientôt, il partait et elle se retrouvait pieds nus dans la rue avec pas même le début d’idée de la marche à suivre. Elle était une boule de nerfs. Le cœur ronger de désarroi et les sens mortifier par l’inquiétude. Et la colère faisait toujours tant trembler ses membres. L’impuissance. Son téléphone coller à son oreille, elle avait appelé la seule personne qu’elle pensait utile en cet instant. L’autre personne qui devait apprendre ce qui était arrivé à cette personne qu’ils aimaient tous les deux. Les tonalités semblaient longues, interminables. Il était tard mais elle appellerait jusqu’à qu’il daigne décrocher. Sinon, c’est chez lui qu’elle irait directement sonner. Mais il décrochait. « Nash, c’est Rhett. Enfin, c’est Maureen mais c’est c’est Rhett. Il.. ils sont venus le chercher. Je sais pas quoi faire! Dis moi quoi faire! »
Saturday the 14th, 4h45 Se calmer ? Respirer ? Non, elle ne pouvait pas. Ce n’était pas tant qu’elle ne le veuille pas mais elle en était bien incapable. Il ne lui restait plus suffisament de force pour prendre assez longtemps sur elle pour avoir ne serait-ce qu’un discours cohérent. Pas après tous les événements qui avaient ponctués cette soirée. Et toutes les conséquences qui en découlerait forcément. Maureen laissait rarement son désarrois être maître de son comportement mais à cet instant, elle avait besoin qu’on lui tienne la main. Qu’on lui dise que tout ira bien. Alors elle tentait d’inspirer, d’expirer à plein poumon parce qu’elle le devait. Parce que c’est ce qu’il lui demandait mais sans grand résultat. « Ils ont débarquer chez lui et l’ont emmené. Les fédéraux, la police. Je… Ca va faire quatre, peut-être cinq heures. Mon avocat m’a fait sortir à l’instant et lui, il est toujours là-dedans. », elle sanglot silencieux venait briser sa voix déjà bien irrité d’avoir trop crier, trop pleurer. « Je savais pas quoi faire, bordel, je sais toujours pas… », elle pouvait entendre des bruits d’agitations à l’autre bout du combiné. « Tu peux venir ? », Maureen était le genre de femme qui demandait difficilement de l’aide mais bouleversée comme elle l’était en cet instant, elle ne voyait d’autres solutions. Et puis, ne l’avait-elle pas appeler pour ça ?