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 431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel

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Gabriel A. WinchesterFriendship is easier made than kept
Gabriel A. Winchester
MY BOOK COVER▹ posts : 2107
▹ credits : TAG (vava), Monocle (premier crackship)
▹ avatar : Scott Eastwood
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▹ multinicks : Le seksy beau brun masseur et sereal baiseur alias Jared feat Ian Somerhalder & La barmaid au caractère bien trempé alias Megara feat Phoebe Tonkin & Le vigile féministe de deux mètres avec les cheveux longs alias Cam feat Jason Momoa & La garçon manquée qui tape la causette aux morts alias Vic feat Mila Kunis
▹ age : 33 ans (13 janvier 1985)
▹ activité rp : RPs en cours: Eric #2Jesabel #4

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MessageSujet: Re: 431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel   431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel - Page 2 EmptyMar 13 Mar - 18:24



❝They never say thank you when you save them❞
Jesabel & Gabriel
« Vous êtes là, eux non. Je n’irai pas appeler quelqu’un a une heure si tardive. » j'hochais la tête en souriant. Oui effectivement vu comme ça ça n'était peut-être pas aussi flatteur que ce que je pensais, ça faisait plutôt compagnie par dépits. Mais soit je m'en contenterais. En tout cas moi j'étais content qu'elle soit venu me parler et qu'elle décide de rester un peu avec moi. Même si ça n'était pas forcément pour parler d'un sujet très agréable. Mais après tout on aurait difficilement pu l'éviter vu que j'étais la à cause de ça. Avec un peu de chance un jour je reviendrais la voir pour une raison moins dramatique. J'avais parlé d'optimisme en l'écoutant parler mais peut-être qu'elle était carrément utopiste en fait. C'était surprenant venant de quelqu'un qui se faisait battre. Généralement ces personnes la étaient plutôt défaitiste, du moins à ce que j'avais pu constater. Ceci dit rien n'empêchait d'être défaitiste pour soit sans l'être pour les autres. Je ne savais pas encore si c'était vraiment le cas pour Jesabel, elle semblait accepter son sort par amour sans vraiment s'en plaindre. Ça aurait été plus facile de l'aider si ça n'était pas le cas mais ça se saurait si les choses étaient toujours faciles. « En quoi ce que vous dites fait vieux jeu ? » Peut-être simplement parce que les gens de maintenant ne voulaient que voir l'amour comme quelque chose de compliqué et de dangereux alors que moi je trouvais ça beau. J'avais peut-être une génération de retard la dessus. Mais aussi loin que je me souvienne je n'avais eu peur de m'engager dans une relation par peur de souffrir et ça même en étant ado. « Je ne trouve pas ça vieux jeu. Dites-moi où étiez-vous il y a quatorze ans ? » Wow ça faisait quatorze ans qu'elle était avec lui ? Pas étonnant qu'elle n'ai pas envie d'y mettre en terme ! Je ris légèrement "Je préfère vous épargner la réponse" oh pas de doute que j'aurais apprécié la rencontrer à cette époque la mais je ne me voyais pas vraiment lui dire que j'étais sur scène, une casquette de croupier sur la tête, à chanter avec d'autres mecs. Je ne me vantais pas vraiment de mes années boysband même s'il y avait toujours quelques personnes pour encore réussir à me reconnaître. « Vous avez votre opinion. » Oui après tout qui n'avait pas d'opinion la dessus ? « Mais vous n’avez été témoin que d’une seule et unique fois. Vous basez votre jugement sur un seul moment. Un moment qui vous déplait, mais vous semblez oublier que ma vie de mariage ne se limite pas qu’à ce matin. Je ne dis pas que ce qui s’est produit ce matin arrive chaque matin. Ce n’est pas le cas. Votre opinion c’est peut-être fait hâtivement. » C'était suffisant pour juger malheureusement. J'étais triste pour elle de l'entendre parler de cette façon mais tout ce qu'elle disait ne justifiait en rien le comportement de son mari « Vous dites qu’on dit que l’amour rend aveugle, mais le mariage c’est aussi pour le meilleur et pour le pire. Cette fois c’est peut-être moi qui suis vieux jeu. Mais il reste mon mari. Bien que ce ne soit pas la maladie qui nous terrasse, nous connaissons notre pire et je resterai toujours près de lui. » c'était clair que pour le coup c'était bien plus vieux jeu que moi. On retombait à l'époque ou la femme n'était qu'un trophée pour l'homme, et la pour le satisfaire sans avoir rien à dire « Et inutile de tenter de me faire changer d’avis avec des exemples, je n’ai aucune amie dans cette situation et ce n’est que devant le fait accompli qu’on sait réellement comment l’on réagit. » je secouais la tête "Avec un peu d'imagination on peut avoir une idée de comment on réagirait, c'est plus facile de taper dans le juste quand on ça concerne nos réaction pour quelqu'un d'autre que pour soit" et à mon avis elle pouvait se l'imaginer mais elle n'avait juste pas envie parce qu'à ce moment la elle devrait reconnaître que j'avais raison de réagir comme je le faisais malgré tout ce qu'elle pouvait me dire pour me dissuader de condamner son mari. "Vous savez même si ce matin avait été la seule fois mon opinion sur votre mari aurait été le même. Frapper sa femme c'est quelque chose qu'il ne devrait même pas arriver une seule fois, il n'y a pas un taux de violence à atteindre avant que ça soit inacceptable" et impardonnable, même si elle elle lui pardonnait, encore et toujours. Parce qu'à ce que j'avais compris ça n'était pas la première fois. J'aurais même tendance à parier sur quelque chose de plutôt régulier pour qu'elle y soit résignée à ce point. "Si vous voulez parler de promesse de mariage ? En passant devant le maire votre mari a dû vous promettre respect, fidélité, secours et assistance. Est ce qu'il respecte ses promesses autant que vous ?" la réponse était évidente puis qu’à partir du moment où il l'a frappait ça n'était plus respecté "Je sais que la réalité est dure à voir mais vous n'avez pas l'impression d'être la seule à faire des concessions ?" lui il vivait sa vie comme il l'entendait et elle elle subissait en silence, s'effaçant, et ça pour respecter des vœux que lui ne respectait pas. Ou était la justice la dedans ? Ça n'était pas pour rien que ce genre de comportement était condamné.

« Je ne dis pas le contraire, mais je ne mange que très peu le soir. Généralement, je me contente d’une tasse de chocolat chaud ou bien de lait chaud. » Je souris en relevant légèrement la tasse qu'elle m'avait passé "Je comprend mieux pourquoi il est aussi bon, vous avez l'habitude" j'en reprenais d'ailleurs une gorgée. On en avait jamais des aussi bon au poste de police étrangement. Bon faut dire que je buvais plus de café que de chocolat chaud aussi. « Arrêtez de blâmer ainsi mon mari. » Okay j'avais été trop loin visiblement. C'est vrai que je donnais clairement mon avis même si je ne le faisais pas du tout de façon agressive. Juste que, le débat étant lancé, je ne pouvais pas ne rien dire même si elle n'avait pas forcément envie d'entendre ce que je disais. Je ne pouvais pas lui dire ce qu'elle voulait entendre en même temps. Elle défendait quelqu'un qui pour moi était indéfendable mais je n'avais pas voulu aller trop loin "Je suis désolé si je vous ai blessé" mais pas désolée d'avoir blâmé son mari. En tout cas je n'avais pas eu envie de l'agacer ou de l'attrister je cherchais seulement à lui ouvrir les yeux même si je n'étais probablement pas la première personne à essayer. Mais ça semblait devenir plus difficile d'en parler pour elle, d'ailleurs elle changea de sujet pour plutôt parler de moi. Alors je n'allais pas insister pour continuer à parler de ses malheurs avec son mari. « Peut-être. » c'était pas non plus quelque chose de courant pour moi de parler de ma vie intime avec quelqu'un que je ne connaissais pas. Ça m'arrivait de le faire un peu quand je draguais mais même la je faisais en sorte que ça soit plus elle qui me parle de sa vie, de m'intéresser à elle et non de raconter ma vie. « Vous êtes plutôt pas mal dans votre genre. Vous semblez gentil et protecteur, des choses que toutes les femmes rêvent de connaître. » elle me connaissait depuis cinq minute et finalement elle s'était elle aussi fait un jugement plutôt hâtif cependant c'était positif alors ça faisait plaisir. Même si il y avait encore plein de choses qu'elle ne connaissait pas sur moi « …Enfin, c’est une généralité. » J'appuyais mon coude sur le dossier et appuyais ma joue contre mon poing en la regardant d'un regard plutôt attendris "Il y a aussi pas mal de femmes qui cherchent à s'amuser plutôt qu'à se poser" et je ne cherchais pas non plus particulièrement à me poser même si je ne le repousserais pas si ça me tombait dessus. « Non ! » j'haussais les sourcils ne m'attendant pas à ce qu'elle réagisse aussi vivement à ma question « Enfin, je ne pense pas. Il arrive qu’on me fasse des compliments, mais de là à tourner la tête. » ou alors elle se sous estimait "Moi j'aurais tourné la tête" je souris simplement "Et je suis sûr que je ne suis pas le seul" franchement à moins qu'elle ne se cache sous des gros pull-over avec une capuche et les cheveux devant le visage tête baissée... On devait forcément la regarder. "Vous y faites peut-être juste pas attention vu que vous êtes mariée" ceci dit on pouvait aussi être en couple et se rendre compte qu'on plaisait même si ça n'engageait strictement à rien. Quelqu'un vint frappé contre la vitre contre laquelle Jesabel était appuyée ce qui fit sursauter la jeune femme. J'avais été surpris aussi ceci dit, je ne l'avais pas vu venir. Je ne disais rien et ne bougeais pas la laissant ouvrir la fenêtre après s'être installée plus convenablement. Apparemment ça n'était pas quelqu'un qui cherchait son chemin, la dame la connaissait et elle avait bien regarder pour réussir à la reconnaître dans la voiture. Sa curiosité un peu mal placée sembla déstabiliser quelque peu la jolie blonde « Je ne vous ai jamais présenté mon frère Miss Middler ? Il est venu me rendre visite. Et vous Miss Middler que faites-vous dehors à cette heure ? » Ah oui quand même. J'avais tout d'abord haussé un sourcil sous la surprise avant de sourire et de faire un signe de la main à la vieille femme. Frère carrément. Elle n'avait pas le droit d'avoir d'ami homme qu'elle avait choisit cette option ? Pourtant à choisir c'était le dernier rôle que j'aurais voulu prendre. Même si le côté protecteur d'un grand frère ça je pouvais effectivement l'avoir « Bonne promenade. » Bon finalement elle avait réussis à s'en débarrasser assez vite. « Maintenant, vous avez une bonne excuse de venir me voir. N’est-ce pas frérot ? » je ris légèrement en baissant la tête. Je n'allais pas répondre en l'appelant sœurette n'ayant pas vraiment envie de lui donner l'impression que ce rôle me plait même si c'est dans l'amusement parce que l'amusement pouvait rapidement devenir la réalité. "Est ce que c'est une invitation à venir vous revoir ?" je relevais les yeux sur elle en souriant « Vous voulez entrer un moment ? » j'étais une fois de plus un peu surpris de sa proposition bien que l'hospitalité venant d'elle ne devrait absolument pas me surprendre mais je ne m'y attendais pas. Ceci dit j'étais loin d'être déçu par la proposition "Oui, je veux bien" je souris puis penchais la tête un peu sur le côté pour remarquer que la vieille dame avait décidé de promener son chien uniquement de façon à ce qu'on reste dans son champ de vision "Et je pense que c'est une bonne idée à tous les niveaux" je ris légèrement. Ça nous éviterait de nous sentir épié. Je me rasseyais correctement pour couper le contact et récupérer mes clés avant de sortir de ma voiture. Une fois tous les deux dehors et les portières fermées je verrouillais ma voiture. Je fis également un signe de la main à la dame au chien qui s'empressa de regarder autre part. Ça me faisait rire oui. La tasse dans une main je suivais Jesabel jusqu'à l'entrée de sa maison puis à l'intérieur où elle m'invita à m'asseoir. Une fois mes fesses sur le canapé je regardais un peu autour de moi, faut dire que je n'avais pas vraiment pris le temps de regarder la déco quand j'étais rentré le matin même. "J'aimerais vous laisser mon numéro, au cas où, si vous voulez bien" je buvais les dernières gorgée du chocolat chaud qui commençais à ne plus être aussi chaud que ça puis je posais la tasse sur la table basse "Comme ça si vous avez besoin vous pouvez m'appeler, que ça soit pour une chose ou une autre" oui je ne disais pas ça uniquement pour qu'elle m'appelle si son mari la battait de nouveau parce que ça j'avais des doutes sur le fait qu'elle le fasse "Comme par exemple si vous n'avez pas envie d'être seule et qu'il est trop tard pour appeler un ou une amie à vous" je souris. Bon je la taquinais un peu par rapport à ce qu'elle m'avait dit tout à l'heure mais si vraiment elle m'appelait et que je pouvais venir je le ferais. Allez savoir pourquoi. Je ne pouvais pas me préoccuper de toutes les personnes que j'aidais avec mon boulot ni me montrer disponible pour chacune d'elles mais j'aimais juste bien être la avec elle alors si j'avais l'occasion de la revoir je ne dirais probablement pas non.
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Jesabel Cummings
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MessageSujet: Re: 431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel   431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel - Page 2 EmptyMer 14 Mar - 0:08

Gabriel & Jesabel

your silence will not protect you

They never say thank you when you save them
Comme beaucoup de jeune fille, Jesabel c’est toujours imaginé remontant l’allée dans sa grande robe blanche. Elle y est parvenue, mais ce qu’elle a toujours imaginé comme un conte de fée s’avère bien différent de ses espérances. Elle se noie et pourtant, elle ne cherche pas à remonter à la surface, elle se laisse couler, simplement parce qu’elle a besoin de Jake. Elle s’arroche à quelque chose comme elle le peut. Même si peu à peu elle ouvre les yeux, elle voit la réalité, mais elle ignore comment la combattre. Elle ignore quoi faire. Elle pourrait prendre le large, fuir une nouvelle fois, mais s’il l’a retrouvé, il la retrouvera encore. Il a besoin d’elle autant qu’elle a besoin de lui. Sauf que ce n’est pas pour les mêmes raisons. Jesabel qui cherche simplement à être aimé, à vivre sa belle histoire d’amour, lui, il la voit comme un bon parti pris. Elle a la capacité de mettre ses collaborateurs en confiance. Tout le monde semble tomber sous le charme de cette blonde. Elle est dévouée, attentionnée et elle fait toujours son possible pour donner le meilleur d’elle-même lorsqu’elle est face à ces hommes d’affaires et leur épouse. Mais tout cela, Jesabel ne s’en doute pas, elle continue de croire qu’il l’aime vraiment. Que lorsqu’il lui demande pardon, il le pense. Mais si elle savait… Peut-être qu’elle ouvrirait complètement les yeux. Elle en souffrirait, mais elle serait de nouveau libre après plus d’une décennie prise dans sa cage d’or. Gabriel élude sa question, la faisant froncer ses sourcils. Qu’avait-il fait il y a quatorze ans pour ne pas vouloir en parler ? Un mystère de plus à attribuer au brun. Elle peut toute fois rayer un quelconque délit, sinon il n’aurait pas pu devenir flic. C’est la déduction qu’elle se fait, gardant son regard posé sur lui, cherchant un quelconque signe qui pourrait la mener à d’autre conclusion. Se faire des films c’est bel et bien l’une de ses spécialités. « Pourquoi donc ? C’est si horrible que cela ? » demande-t-elle finalement, un peu trop curieuse. Un trait de caractère qu’elle n’a généralement pas, mais qui semble bien décider à naître ce soir. Son regard ne l’a pas quitté, il ne l’a pas interrompu, mais il la prend toujours de court. Elle commence à éprouver des difficultés à trouver les mots pour s’exprimer et qu’il lâche tout simplement l’affaire. « Il arrive souvent que les gens disent que dans telle circonstance ils agiront ainsi, mais une fois devant le fait accompli soit ils font ce qu’ils ont dit ou alors tout le contraire. Personne ne peut prévoir ses réactions. Il faut le vivre pour savoir ce que nous ferions. » Une personne peut prendre des cours de self-defense pour se protéger si elle se fait agresser, mais devant un agresseur se figer complètement. Voilà ce que Jesabel tente d’exprimer, on peut dire quelque chose, mais finalement, personne ne sait comment on peut vraiment réagir, pas même nous. Elle fronce le nez. « Malheureusement, même si j’aimerais dire que la violence n’est pas présente, elle l’est. On ne peut pas tous fuir. Et la mienne est bien moins terrible que subissent d’autres personnes… » Elle pousse un soupir. « Ce n’est pas tout le monde qui a la chance d’être aimé ou traiter comme vous le sous-entendez. » Jake, elle croyait qu’il était ainsi. Elle l’a longtemps cru et elle le croit sans doute encore. Au fond d’elle, elle se dit qu’il est toujours cet adolescent qu’elle a rencontré au lycée et avec qui elle a partagé des vœux. Elle garde cela en tête, car même si ses yeux s’ouvrent peu à peu, elle sait que si elle perd tout espoir, elle aura tout perdue. Là, il vient tout simplement de lui clouer le bec, elle le toise, gonflant ses joues refusant de capituler, mais elle doit bien admettre qu’il n’a pas tort. Elle est ne sait plus quoi dire et elle n’aime décidément pas ça. Elle cherche quoi dire, mais se résigne à ne pas répliquer, elle sait que si elle le fait, elle pleura. Elle ne désire en aucune s’afficher ainsi, montrer cette faible, mais aussi cette capitulation. S’il cherche à détruire un mariage et la laisser paumer, il est sur la bonne voie. Comment se sentira-t-il s’il menait un couple à un divorce ? Elle chasse tout cela de sa tête, elle est douée pour esquiver, elle le fait depuis quelque temps avec Jada. « Merci. » dit-elle à ce compliment qu’il fait à son chocolat chaud. « J’aurais ajouté des marshmallows si j’en avais eu à la maison, mais… » Ce n’est pas le cas. Jouant avec l’ourlet de sa jaquette, elle cache son ressentiment vis-à-vis de tout ce que Gabriel peut dire sur son époux. C’est de plus en plus difficile pour elle et elle commence à se demander pourquoi elle reste assise là. Baissant son regard, elle regard un motif sur le tissu, s’y perdant un moment avant de parler à nouveau : « Ce n’est rien. » Elle n’est pas certaine de croire ses propres mots, il l’affecte et elle ne sait plus comment réagir. Elle ferme les yeux un instant, s’imaginant Jake derrière ses paupières closent. Elle cherche un réconfort qu’elle a depuis longtemps perdue. Mais elle prend sur soit, elle change de sujet pour éviter d’accroitre sa peine et son désarroi. Elle relève ses prunelles claires vers le jeune homme, lorsqu’il parle de plaisir. Ses joues s’empourprent légèrement, elle sent la chaleur se répandre sous sa peau. Elle n’est pas prude, ce n’est pas parce qu’elle se couvre un peu plus que la moyenne des femmes depuis quelques années qu’elle a peur de montrer son corps ou encore qu’elle n’aime pas le sexe. Non, elle est simplement discrète. Elle tient à garder cela privé et puis elle n’a connu que trois personnes dans sa courte vie sexuelle. Elle n’a toujours cherché que l’amour et non le plaisir et parfois elle oublie que des personnes n’ont pas ce besoin vital d’être aimé. Elle se gratte la joue. « Je ne vous imaginais pas ainsi. » En fait, elle ne sait même pas comment il peut être. Elle s’est encore fait des films en se disant qu’il devait être un romantique, mais elle semble faire fausse route. Ses réactions deviennent de plus en plus inattendues, qu’elle-même est choqué de se voir réagir ainsi. « Ah bon ? » s’étonne-t-elle de l’entendre dire que lui, il se serait retourné. Elle a toujours eu l’impression de passer inaperçue, mais elle se dit aussi qu’il dit peut-être cela pour la mettre à l’aise… Elle en sait trop rien, mais elle aime croire qu’il le pense vraiment. « Peut-être… » Elle se dit qu’elle n’a jamais détourner son regard de Jake, donc difficile de voir qui regarde si on ne voit qu’une seule et unique personne. Qu’on ne peut détourner son regard de cette personne. Comme à cet instant, où elle a ses prunelles plongées dans celle du brun, sortant de sa contemplation en entendant toquer contre la fenêtre de la porte. Découvrir la voisine qui a pour habitude de mettre son nez partout, ne la réconforte pas, mais ne l’étonne pas non plus. Elle tente de bien vite s’en débarrasser. Et même si elle n’a pas réfléchi en présentant Gabriel comme étant son frère, elle trouve qu’elle s’en est bien sortie. Elle a voulu plaisanter, mais voilà que ça se retourne contre elle, s’empourprant une nouvelle fois, elle détourne le regard. Désire-t-elle le revoir ? Elle n’est pas contre, mais elle se garde bien de le dire. Comment il pourrait interpréter son désir de le revoir ? Même elle ignore ce que cela signifie. Au lieu de cela, elle l’invite chez elle. Elle se sent heureuse de le voir accepter sans rouspéter. Glissant ses pieds dans ses bottes, ils retrouvent un confort chaud, alors qu’ils sont glacials. Elle tourne son regard vers l’extérieur, voyant la voisine qui n’arrive pas à faire mieux que de chercher le prochain potin. « Elle ne risque pas de nous laisser tranquille. Je serais pas surprise qu’elle dirige ce blog… Mind Reader. » Cette femme en serait tout à fait capable à mettre son nez partout. Elle sort de la voiture, serrant le kimono autour de sa frêle taille, contournant la voiture à nouveau pour se diriger vers la maison. La porte n’est pas verrouillée, elle a simplement à tourner la poignée pour ouvrir la porte sur une demeure chaleureuse. « Faite comme chez vous. » dit-elle en montrant le canapé. Elle retire ses bottes, prenant la direction de sa chambre. Elle récupère une paire de grosse chaussette et revient vers le salon. Elle s’arrête près du canapé, jouant avec ses chaussettes. « Si je ne veux pas déranger mes amis pourquoi je vous dérangerais aussi ? » Ça n’a pas de sens pour elle. « Mais si vous y tenez, je veux bien. » Elle ne semble pas emballée par la chose, alors qu’au fond d’elle c’est tout le contraire. Elle s’assoit dans le même canapé que lui, enfilant ses chaussettes pour réchauffer ses pieds qui sont congelé. C’est étrange pour elle de le savoir là, assis dans son canapé, alors que plus tôt il était venu pour arrêter son époux. Elle lui donne accès à sa vie. Sur les murs sont accrochés des photos d’elle prise par sa meilleure amie, d’autre plus amateur d’elle en Afrique. Son décor la représente davantage elle que Jake, mais elle est celle qui vit ici contrairement à lui. « Je ne comprends toujours pas pourquoi vous faites tout cela pour moi. Je ne suis qu’une simple étrangère, tous ce que vous savez de moi c’est mon prénom. »  
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MessageSujet: Re: 431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel   431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel - Page 2 EmptyMer 14 Mar - 2:59



❝They never say thank you when you save them❞
Jesabel & Gabriel
Peut-être que la jeune femme s'intéressait à moi autant que je m'intéressais à elle au final. Pourquoi je m'intéressais autant à elle d'ailleurs ? Bon je m'intéressais plus ou moins à tout le monde et en particulier dans le cadre de mon boulot mais la j'étais revenu après le boulot parce que ce qui pouvait lui arriver me préoccupait. Je l'avais juste entre-vue au moment de l'arrestation, c'était seulement maintenant que je la découvrais un peu mieux. Et je ne regrettais pas d'être revenue ici et plus je lui parlais plus je la trouvais intéressante même si ça me faisait chier qu'elle soit trop amoureuse de son mari pour vouloir s'en sortir. C'est jamais facile d'aider quelqu'un qui refuse d'être aidé et préfère attendre que ça passe sans savoir réellement si ça va passer un jour. Elle ne méritait pas ça. Il suffisait de la regarder pour comprendre qu'elle était une femme douce et adorable qui ne ferait pas de mal à une mouche. « Pourquoi donc ? C’est si horrible que cela ? » ce que je faisais au moment où elle se mettait avec le type qui aujourd'hui le frappait ? Je ris en secouant la tête. Non ça n'avait rien d'horrible, je n'avais torturé personne "C'est juste ridicule et je dois bien avouer que j'ai un peu honte" je souris. Si je lui disais et qu'elle allait fouiller un peu sur internet par curiosité ça serait beau tiens ! J'aimais bien chanter hein ça n'était pas ça qui me faisait honte mais plutôt la tronche de notre groupe de gamins et nos dégaines. Ah ben ça pas de doute que ça valait le détour ! Je me demandais encore comment on avait pu avoir autant de succès à cette époque. Bon après vu le public qu'on touchait, c'est à dire majoritairement des adolescentes, ça n'était peut-être pas si surprenant. D'ailleurs à l'époque j'avais fait plusieurs choses qui m'auraient empêcher de faire flic si je m'étais fait chopper. Du genre fumer de la beuh entre autre. Mais bon j'étais jeune et con. Maintenant j'étais... toujours un peu con mais un con mature du coup ça me permettait de faire le con mais aussi de savoir être sérieux. D'ailleurs en ce moment on avait une discussion on ne peut plus sérieuse « Il arrive souvent que les gens disent que dans telle circonstance ils agiront ainsi, mais une fois devant le fait accompli soit ils font ce qu’ils ont dit ou alors tout le contraire. Personne ne peut prévoir ses réactions. Il faut le vivre pour savoir ce que nous ferions. » Pour ma part je n'avais pas à me poser la question puisque j'étais déjà dans la situation dans laquelle je lui demandais de se mettre. Celle de celui qui se retrouve devant une personne qui se fait battre et qui doit choisir de soit la laisser continuer à se faire battre sans rien tenter ou soit tout faire pour la convaincre de ne plus se laisser faire. "Et  du coup vous ne voulez vraiment pas vous imaginez ce que vous feriez dans ma situation pour tenter de comprendre pourquoi je ne peux pas me laisser convaincre par vos arguments ?" de toute façon si je pouvais comprendre qu'elle n'ose pas le dénoncer parce qu'elle l'aimait et qu'elle gardait espoir je ne pouvais pas être d'accord sur le fait que son mari méritait le pardon parce qu'il n'avait pas toujours été comme ça. « Malheureusement, même si j’aimerais dire que la violence n’est pas présente, elle l’est. On ne peut pas tous fuir. Et la mienne est bien moins terrible que subissent d’autres personnes… » Est ce que se dire qu'elle n'était pas si mal par rapport à d'autre ça rendait ça plus supportable ? « Ce n’est pas tout le monde qui a la chance d’être aimé ou traiter comme vous le sous-entendez. » C'est sûr, et pourtant ça devrait. Et ça faisait aussi partie des raisons pour lesquelles je faisais ce boulotµ. Je savais que je ne pourrais jamais rétablir complètement cette injustice avec les collègues mais je pouvais toujours diminuer les victimes de maltraitance et c'était toujours mieux que rien. "On trouve toujours pire que soit, ça ne veut pas dire qu'on ne doit pas rendre notre vie meilleure. C'est pas une vraie consolation que de se dire que certains sont dans des situations plus horribles" Moi j'étais dans une bonne situation, je n'avais clairement pas à me plaindre et de toute façon si on venait à me maltraiter je serais en mesure de me défendre. Elle en revanche elle avait de quoi se plaindre. Il y avait pire qu'elle mais il y avait largement mieux aussi. e faire taper dessus ça n'était pas une vie et ça me peinait qu'elle s'y accommode. Quand je rebondis sur ce qu'elle a dit par rapport aux vœux de mariage elle ne répond pas. Peut-être que j'ai enfin réussis à dire quelque chose qui provoque un déclique, qui la fait réfléchir ? J'espérais vraiment que ça soit le cas. Mais le fait qu'elle ne trouve rien à me dire pour me contredire voulait bien dire qu'elle se rendait compte que j'avais raison non ? « Merci. J’aurais ajouté des marshmallows si j’en avais eu à la maison, mais… » Des marshmallows dans du chocolat chaud ? Alors ça j'avais encore jamais vu ça, j'étais curieux il faudrait que j'essaye un jour "C'est pas grave, c'est très bien comme ça" j'allais quand même pas faire mon difficile parce qu'elle avait pas mis de marshmallow alors qu'elle m'offrait déjà du chocolat chaud. « Ce n’est rien. » Elle était venu à moi gentiment et moi je l'avais vexé. Quelque part je m'en voulais un peu même si j'avais essayé de lui ouvrir les yeux pour son bien au final. Mais elle ne semblait pas m'en tenir réellement rigueur et se contenta de changer de sujet. Déviant sur moi. « Je ne vous imaginais pas ainsi. » la je me sentais un peu jugé mais de toute façon c'était inévitable. Qu'est ce qu'elle voulait dire par être ainsi, qu'est ce qu'elle était en train de s'imaginer ? J'avais presque l'impression de la décevoir d'un coup "Attention je ne suis pas contre une relation de couple je dis juste que je croise plus de femmes qui veulent simplement s'amuser que se mettre en couple" je ne disais pas que les femmes étaient comme ça en général car, comme elle le disait, beaucoup souhaitent trouver un homme bien pour faire leur vie avec. Je disais juste que la plus part des femmes avec qui je parlais et le flirtait n'étaient pas dans cette recherche. Faut dire que dans les bars on avait plus de chance de trouver des personnes qui cherchaient une relation d'un soir, du plaisir pour la soirée "Mais quand bien même je ne cherchais qu'à avoir des relations d'un soir, est ce que c'est quelque chose de mal quand c'est aussi ce que recherche l'autre personne ?" en tout cas je n'avais jamais fait espérer personne sur une supposée suite dans le but de coucher. Il me fallait un peu de temps pour pouvoir me projeter avec quelqu'un. « Ah bon ? » J'hochais la tête. Autant être sincère. J'aurais tourné la tête sur son passage oui et en fonction des conditions dans lesquelles on se trouvait je l'aurais peut-être même abordé. « Peut-être… » je souris. Au moins elle ne niait pas donc j'en revenais à ce que je pensais. C'est à dire qu'elle devait plaire à pas mal d'hommes voir des femmes d'ailleurs. Je ne rajoutais rien me contentant de soutenir son regard quelques longues secondes pourtant pas pesantes jusqu'à être interrompu par la dame qui frappait à a fenêtre. Celle ci même qui nous surveillait encore au moment de sortir de la voiture. Si je repassais ça voulait dire que j'allais encore devoir jouer le rôle du frérot puisqu'elle semblait souvent s'occuper de ce qu'il se passait chez sa voisine. « Elle ne risque pas de nous laisser tranquille. Je serais pas surprise qu’elle dirige ce blog… Mind Reader. » Je ris légèrement "Décidément ce blog a beaucoup de succès" j'avais l'impression que tout le monde le connaissais, j'étais même surpris de le connaitre moi même en fait ne passant pas des masses de mon temps sur l'ordi. En tout cas une fois à l'intérieur cette vieille dame ne pouvait plus nous surveiller. Je ne pouvais pas vraiment la blâmer puisqu'il y avait des chances pour que ça soit elle qui nous ai prévenu pour la violence du mari de Jesabel. « Faite comme chez vous. » valait peut-être mieux pas que je fasse comme chez moi sinon j'allais me désaper et pas sûr que ça la mette vraiment à l'aise mais bon je savais bien que c'était une façon de parler et j'allais donc m'asseoir dans le canapé. Je la vois partir et attend qu'elle revienne en perdant mon regard sur les photos accrochées au mur. Elles étaient sympa, en tout cas en les regardant on imaginerait pas être chez quelqu'un de malheureuse en ménage. Enfin malheureuse, je me comprenais même si au final elle se satisfaisait de sa situation. Je reportais mon regard sur elle quand elle revint avec une paire de grosses chaussettes en main.« Si je ne veux pas déranger mes amis pourquoi je vous dérangerais aussi ? » j'avais dis ça plutôt sur le ton de la plaisanterie mais apparemment elle l'avait pris au sérieux « Mais si vous y tenez, je veux bien. » si j'y tenais ? Moi je proposais seulement mais j'allais quand même lui donner du coup comme ça elle l'aurait quand même au cas où, après libre à elle de l'utiliser ou non "Si vous me dérangez je vous le dirais mais si ce n'est pas le cas je viendrais" A moins d'être au boulot il y avait peu de chance de déranger. Je pouvais bien dérocher le téléphone même si j'étais pas seul et si j'étais au lit avec quelqu'un... La c'était un cas un peu plus spécial. "Vous avez de quoi écrire pour que je vous le note ? Ou bien je le rentre directement sur votre portable comme vous préférez" Elle s'assoie enfin et je la regarde enfiler des chaussettes ce qui me fait sourire. Non pas que je me moquais ou quoi juste que je trouvais ça mignon en fait. « Je ne comprends toujours pas pourquoi vous faites tout cela pour moi. Je ne suis qu’une simple étrangère, tous ce que vous savez de moi c’est mon prénom. » Non ça n'était pas tout à fait juste, je savais aussi ce qu'elle subissait et c'était ce qui m'avait poussé à revenir ici mais je voyais ce qu'elle voulait dire et je comprenais qu'elle se pose la question. "Je n'ai pas fait grand chose, juste mon boulot ce matin et ce soir ben... Je suis simplement venu m'assurer que tout allait bien mais j'en ai pas tant fait que ça" peut-être qu'au fond je ne me l'expliquais pas vraiment non plus. C'est vrai j'aurais pu partir à partir du moment où j'avais su que son mari n'était pas la et n'allait probablement pas rentrer. J'aurais pu aussi ne pas l'inviter dans ma voiture, ne pas partir dans des débats qu'elle ne souhaitais pas vraiment entendre ou encore j'aurais pu ne pas accepter de rentrer chez elle puisqu'en soit je n'avais rien à y faire. Je me grattais machinalement la nuque sans me rendre compte que j'étais partie dans mes pensées quelques secondes en fixant le vide "Vous m'en voulez si je vous dis que vous me donnez envie de vous protéger ?" si elle me répondait que oui alors je ne le dirais pas ! Je n'avais pas envie qu'elle m'en veuille. Pas pour ça en tout cas. Si elle m'en voulait un jour parce que je foutais son mari derrière les barreaux une bonne fois pour toute alors soit, c'était quelque chose que je pourrais supporter parce que je saurais que j'ai fait la bonne chose à faire et qu'elle irait mieux. Mais pour le reste je crois que je me préoccupais de ce qu'elle pensait, ce qui était loin d'être toujours le cas chez moi. Bon après la situation était spéciale aussi, du moins c'était ce que je me disais. "Mais je ne suis pas contre apprendre autre chose sur vous que votre prénom" je souris en me tournant vers elle "Si vous acceptez je peux aussi vous dire des trucs sur moi" en disant ça je me rendais compte que le sujet des quatorze en arrière que j'avais évité tout à l'heure risquait de refaire surface. Zut. Bon tant pis, je pouvais bien lui dire si ça voulait dire que je pouvais en apprendre un peu plus sur elle.
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MessageSujet: Re: 431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel   431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel - Page 2 EmptyMer 14 Mar - 5:59

Gabriel & Jesabel

your silence will not protect you

They never say thank you when you save them
« Pourquoi avoir honte ? Ça fait parti de vous, ça a servit à faire de vous l’homme que vous êtes aujourd’hui. » Elle ne cherche pas à savoir, elle voit bien que cela le met dans une situation délicate et elle ne veut pas accentuer ce malaise. Tout ce qu’elle sait, c’est que chaque moment d’une vie sert à la forger. Même si ce n’est pas tout le monde qui en sont fiers, personne ne peut changer son passé. Si elle n’avait pas rencontré Jake, elle ne serait sans doute pas ici. Elle serait sans doute encore enseignante, mais elle n’irait pas dans des pays défavorisés pour aider plus démunie qu’elle. Une façon d’aider, mais aussi de fuir. Fuir loin de tout cela. « Car je sais que ça ne sert à rien. » Et elle parle en connaissance de cause, elle a n’a jamais oublié ce jour où elle avait dix-sept ans et c’est furieuse qu’elle avait déboulée devant la maison de Jada. Jamais elle n’avait été autant en colère. Comment un homme pouvait faire cela à sa fille ? Elle n’approuvait pas, ça la répugnait, mais c’est Jada qui fini par lui faire entendre raison et elle avait compris que beaucoup trop tard l’erreur qu’elle avait commise. En voulant la protéger, elle n’avait fait qu’empirer la chose. Le corps de Jada en avait été la preuve et c’est la culpabilité qui l’avait envahi ce jour-là. Tout c’était déroulé à l’encontre de ce qu’elle souhaitait faire. Aujourd’hui, elle s’en voulait encore, autant de n’avoir rien fait, mais aussi d’avoir fait certaine chose. Elles avaient fui le père de sa meilleure amie et il l’avait retrouvé elle, Jesabel. Le jour où Jada était partie, elle avait compris que son père la hanterait toute sa vie. Qu’il ne s’arrêterait pas qu’à un simple refus de coopération. Même si leur difficulté n’avait jamais été les mêmes, elle pouvait comprendre, mais elle savait aussi que par moment il ne valait mieux rien faire. Et c’est ce qu’elle choisi de faire en ne répondant plus à ce que lui dit le brun. D’un côté elle comprend, mais de l’autre elle a ses principes, ces idées qu’elle tente de garder et qu’elle voit s’effriter à mesure qu’elle parle avec lui. Elle prend peur, même si elle ne dit rien et ne laisse rien paraitre. Ses doigts continuent à jouer avec l’ourlet de sa jaquette. Gabriel semble apprécier son chocolat chaud et ça la fait sourire bêtement. Un sourire qui s’évapore lorsqu’elle le débat sur son mari se poursuit, si elle cherchait de la compagnie, ce n’était très certainement pas pour qu’on la rabâche avec cela. Elle préfère alors changer de sujet, plus facile et surtout, elle peut chasser toutes ces choses qui se bousculent dans sa tête. « Je suis désolée. » Elle sent qu’elle a une fois de plus gaffer, elle joue avec une mèche de ses cheveux, celle toujours aussi rebelle qui ne reste pas coincé derrière son oreille. Son intention n’est pas de le juger, elle a simplement été surprise. « Ce n’est pas ce que je voulais dire. Bien sur que vous avez droit de vivre comme bon vous semble. Je n’ai rien contre ça. Simplement, à vous entendre parler vous sembliez… » Elle se mord la lèvre, cherchant le therme, mais ne trouvant rien de mieux, elle continue : « …chevaleresque. » Un rire nerveux franchi ses lèvres. « Ce n’est que supposition, ne m’en voulez pas. Vous pouvez l’être tout en vous amusant avec les femmes. » Elle parle trop et malheureusement pour elle, plus elle parle, plus elle s’enfonce. Prenant une profonde inspiration, elle pousse un long soupir, laissant son front tomber sur ses genoux. Elle doit vraiment apprendre à se taire ! Il va penser quoi d’elle ? Elle ignore, mais elle aimerait bien disparaître à cet instant. « Je ne sais plus ce que je dis. Tout ce que je dis ne ressemble à rien… » Elle relève son regard vers lui, elle est gênée et son visage le démontre bien pour elle. Réalisant qu’à son tour elle peut faire tourner les têtes sur son passage, elle sent une fois de plus le rouge monter à ses joues. C’est le genre de chose qu’elle n’a jamais pris en considération. Pour elle, elle ne dégage rien de particulièrement intéressant pour qu’on daigne se retourner sur son passage. Et c’est son tour de tourner la tête, croisant le regard de la voisine. « Vous trouvez aussi. Je ne comprends pas que les gens alimentent ce blog. Ce qu’il dit sur les gens. Je n’aimerais pas qu’on fouille dans ma vie. » Avec raison. Si on étale ainsi sa vie sur un pauvre blog, Jesabel est certaine qu’elle ne s’en remettra pas. Elle n’a pas besoin que tout DC sache qu’elle est battue par son mari. Chaussette à la main elle se tient à distance raisonnable de Gabriel, le regardant. « Et que ferais-je si j’ai vraiment besoin de vous, mais que je vous dérange ? » Elle demande, même si elle sait qu’elle ne risque pas vraiment de le téléphoner. Elle ne mêle pas ses amis à ses problèmes conjugaux, alors un étranger sans doute encore moins, même si elle apprécie l’attention et tout l’effort qu’il met dans ce désir de la protéger. « Mon portable se trouve sur la table basse. » dit-elle en prenant place dans le canapé. Glissant ses pieds dans des chaussettes d’un confort indescriptible, elle espère que ses pieds se réchaufferont de cette manière, car pour l’heure, ils sont glacials. Elle déverrouille son portable avant de le tendre au flic non loin d’elle. Elle remonte à nouveau ses jambes contre elle, se mettant face à lui tout en appuyant son dos contre le dossier du canapé, un large coussin dans son dos. Elle l’observe sous la lumière. Chaque petit détail, la moindre ride qui aurait pu se former lorsqu’il sourit. Elle parcourt de son regard la ligne de sa mâchoire carrée. Ce nez au bout rond. Il se gratte la nuque et elle sort de sa contemplation. Elle n’a pas pensé qu’il aurait pu la remarquer en train de l’observer ainsi, alors qu’elle n’a pas à le regarder ainsi. Mais il semble légèrement différent à la lumière des lampes éclairants sa maison, contrairement à sous les rayons de la lune. « C’est ce que vous aimeriez faire ? Me protéger ? » demande-t-elle en se plongeant dans une réflexion. Elle ne sait pas comment interpréter ce qu’il vient de lui demander. Est-ce que s’est déplacé ? Peut-être, mais elle doit bien admettre qu’elle n’a pas envie de dire non. Bien au contraire. Elle se sent mauvaise à penser ainsi, elle ne devrait pas et pourtant, elle l’a invité chez elle. Elle n’a pas envie qu’il parte. Elle a envie d’être protégée par lui. Mais elle ne peut pas. Jake. Il la sort de nouveau de ses pensées. « Je pourrai tout savoir ? » Elle n’a aucune arrière-pensée, pour cela elle est totalement innocente. « Mais pour cela, on pourrait peut-être se tutoyer. » Ce n’est pas une question, mais plutôt une forme de réclamation. « J’aurais tout de fois un service à vous… te demander. » Elle se lève, se dirige vers sa salle de bain et revient quelques instants plus tard avec de la pommade et des pansements. Elle dépose le tout sur la table basse. « Habituellement, j’y arrive toute seule, mais cette fois… » Elle retire son kimono qui tombe sur le sol avec grâce. Sa peau est laiteuse, aucune marque apparente sur ses bras, ni son cou ou même sur son décolleté provoqué par sa jaquette. Le fait qu’elle ne porte pas de soutif la gêne quelques peu, mais elle se tourne et prend place sur le canapé lui faisant dos. Doucement, ses doigts viennent faire tomber les bretelles de ses épaules et le tissu glisse sur sa peau meurtrie. Son dos est majoritairement marqué de violet et de noir. Il semble même y avoir des griffures dont le sang qui a sortie de ces plaies a perlé et séché. On remarque la trace d’un soulier. « Ne dit rien. Fait simplement mettre les bandages. » Elle baisse la tête. « Pourquoi as-tu choisi de devenir flic ? »
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Gabriel A. Winchester
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MessageSujet: Re: 431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel   431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel - Page 2 EmptyMer 14 Mar - 12:16



❝They never say thank you when you save them❞
Jesabel & Gabriel
« Pourquoi avoir honte ? Ça fait parti de vous, ça a servit à faire de vous l’homme que vous êtes aujourd’hui. » Oui dans un sens elle avait pas tord même si en chantant dans un boysband on aurait jamais pu imaginer que ça me mène à devenir flic plus tard. A la limite strip-teaseur oui. "On a tous nos petites hontes, du moins je crois" bon c'était pas non plus au point de vouloir absolument le cacher hein. Si je finissais par lui en parler pour je ne sais quelle raison tant pis, ça ne serait pas bien grave. Mais bon on se connaissait depuis quelques minutes donc c'était peut-être un peu tôt pour balancer ce genre d'info. « Car je sais que ça ne sert à rien. » Bon. Et moi je savais à présent que ça ne servait à rien que j'insiste. Elle ne voulait pas et je n'allais pas la forcer. D'ailleurs elle évita de répondre aussi à ce que je lui disais ensuite. On avait peut-être un peu tout dit et elle n'avait pas envie de s'y plonger plus. Je pouvais la comprendre, son mari n'était pas la, elle avait peut-être vie de penser à autre chose. D'ailleurs quand j'avais abordé le sujet elle avait rapidement mit un terme à la conversation en me disant clairement que je devais arrêter de critiquer son mari. Elle n'avait été en aucun cas agressive malgré l'agacement qu'elle devait ressentir. C'est vrai que j'aurais eu de quoi continuer longtemps mais je m'étais montré indélicat envers elle alors je m'étais excusé et j'allais tenter d'éviter le sujet pour ce soir. Après tout on en avait déjà assez parlé. « Je suis désolée. » Quoi parce qu'elle avait dit ne pas m'imaginer comme ça ? Ça n'était pas comme si elle m'avait insulté non plus, elle n'avait rien dit de mal « Ce n’est pas ce que je voulais dire. Bien sur que vous avez droit de vivre comme bon vous semble. Je n’ai rien contre ça. Simplement, à vous entendre parler vous sembliez… » l'amusement étira mes lèvres en la voyant tenté de se rattraper comme si elle avait fait une énorme gaffe. Et je lui semblais plus quoi alors ? J'étais curieux « …chevaleresque. » ah et bien je l'étais probablement un peu oui, en tout cas dans le sens où je voulais venir en aide. Mais même si elle parlait d'être chevaleresque dans ma façon de faire la cours aux filles pour moi ça n'était pas incompatible avec le fait de prendre du plaisir un soir sans avoir de suite « Ce n’est que supposition, ne m’en voulez pas. Vous pouvez l’être tout en vous amusant avec les femmes. » et visiblement elle était d'accord donc je ne voyais pas où elle voulait en venir "C'est bien vous faites les questions et les réponses je n'ai même plus besoin de rien dire" je ris en la voyant laisser tomber son front contre ses genoux « Je ne sais plus ce que je dis. Tout ce que je dis ne ressemble à rien… » Elle semblait vraiment gênée alors que c'était mignon comme toi "Ça arrive à tout le monde d'être un peu maladroit ne vous en voulez pas, moi je trouve ça attendrissant" Moi même je m'étais montré maladroit dans ma façon de parler de son mari juste avant mais ça n'avait en rien été mignon donc la elle n'avait clairement pas de quoi s'en vouloir ou se sentir mal parce qu'elle c'était un peu embrouillée. Quand je lui fais remarquer qu'elle peut plaire ses joues s'empourpre. Elle me disait qu'elle avait des bons moments avec son mari entre les mauvais mais visiblement il ne devait pas lui dire suffisamment souvent qu'elle était belle. Ou alors c'était le fait que ça vienne d'un étranger qui la faisait rougir. C'était possible aussi.

« Vous trouvez aussi. Je ne comprends pas que les gens alimentent ce blog. Ce qu’il dit sur les gens. Je n’aimerais pas qu’on fouille dans ma vie. » Je ne savais pas comment ce bloggeur réussissais à récupérer autant d'information sur la vie des gens mais ça ne lui posait apparemment aucun cas de conscience de balancer des infos aussi intimes sur les gens. "Je crois que face à ça on est tous au même rang" après tout qui pourrait aimer qu'on fouille ainsi dans sa vie et qu'on dévoile tout sur internet aux yeux d'absolument tout le monde ? « Et que ferais-je si j’ai vraiment besoin de vous, mais que je vous dérange ? » c'était une question délicate. Si je pouvais me trouver à deux endroits à la fois je le ferais "Je ne vais pas vous mentir, si je suis en pleine intervention ça risque d'être compliqué il faudra appeler quelqu'un d'autre, mais dans un autre cas si vous avez vraiment besoin de moi je viendrais" l'idée qu'elle puisse se retrouver en danger à cause de son mari dépassait les autres occupations que je pouvais avoir. Alors tant pis si j'étais avec une autre fille, elle le prendrait sûrement mal de me voir partir après avoir reçu un coup de fils de Jesabel et moi même je détestais faire ça mais je venais de m'engager auprès de la jeune femme. « Mon portable se trouve sur la table basse. » Je le prend quand elle me le temps après s'être installée à côté de moi et je vais dans ses contacts pour y ajouter mon numéro et mon nom avant de le reposer sur la table basse. Sa question m'avait fait partir dans mes pensées mais j''avais finalement finis par en sortir et reporter mon attention sur elle pour lui répondre, c'était quand même mieux. Il y avait bien une autre raison qui faisait que je lui avais passé mon numéro et que je me rendais disponible pour pouvoir l'aider si besoin « C’est ce que vous aimeriez faire ? Me protéger ? » Tourné sur le côté pour lui faire fasse je penchais la tête sur le côté pour l'appuyer contre le dossier tout en la regardant "C'est ce qui m'a poussé à venir pour commencer et depuis que vous êtes venu parler oui ça confirme carrément mon envie de vous protéger" la c'est moi qui avait l'impression d'être maladroit. Est ce que ça se faisait vraiment de dire ça à une femme mariée ? Je n'étais pas certain, mais quand elle était mariée à un salop il y avait prescription non ? En tout cas ce que je savais c'était que si je le pouvais je la mettrais à l'abris de son mari dès ce soir. A la base elle aurait dû l'être vu que son mari aurait du toujours être détenu mais non il était libre de se balader je ne sais où. "Mais si ça vous gêne que je dise ça et que vous me trouvez un peu trop culotté faut me le dire" je ris légèrement. Pourtant j'étais plutôt soft la. « Je pourrai tout savoir ? » "Aaah" je me remis dos contre le dossier en souriant puis j'étirais mon coup une seconde avant de regarder devant moi. Tout ça faisait beaucoup mais par la elle devait surtout vouloir dire qu'elle pourrait me poser des questions sur n'importe quoi. Pourtant il y avait des choses que je ne me voyais pas lui dire maintenant, pas aussi tôt, pas comme ça. C'était délicat. D'ailleurs c'était marrant que ça le soit parce que ça n'était pas toujours le cas avec les autres. "D'accord mais faudra accepter de répondre aussi à mes questions dans ce cas" mais je n'étais pas un abrutit finit je ne comptais pas poser des questions trop indiscrètes alors que ça la mettrait même à l'aise. Ceci dit quand je me sentais moi même à l'aise et qu'on commençait à bien parler je pouvais avoir du mal à savoir où se trouvais la limite de ce qui était encore correcte de dire et demander ou pas. « Mais pour cela, on pourrait peut-être se tutoyer. » Je tournais la tête vers elle et souriais à nouveau "Okay ça me va" j'allais probablement avoir du mal au début vu que je la vouvoyais depuis tout à l'heure et il y aurait peut-être parfois quelques vous qui ressortirons automatiquement mais si je gardais ça en tête dès maintenant ça devrait aller. Et puis si elle voulait me tutoyer c'était qu'elle se sentait en confiance non ? Donc c'était plutôt bon signe. C'était une barrière qui sautait. « J’aurais tout de fois un service à vous… te demander. » j'haussais les sourcils, curieux "Ah oui ?" elle se levait et je la suivais du regard jusqu'à ce que je ne puisse plus la voir. Une fois de plus elle disparaissait pour réapparaître la minute qui suivait. Mais en la voyant avec des pansements à la main mon sourire disparu. Ça n'était pas comme si j'avais déjà oublié qu'elle s'était pris des coups mais c'était un retour à la réalité un peu brusque « Habituellement, j’y arrive toute seule, mais cette fois… » j'hochais la tête "Bien sûr, pas de soucis" je ne pouvais pas lui refuser ça. Elle laissa tomber son kimono que j'avais automatiquement regardé tomber au sol avant de relever mon regard sur elle. Ça ne se voyait pas d'ici. Si son mari faisait attention aux endroits où il l'a frappait c'était encore pire que de la préméditation, il était totalement conscient de ce qu'il faisait et contrôlait. C'était encore pire que ce que je pensais. Elle s'assit dos à moi et je me redressais. Au moment où elle découvrait son dos mon cœur loupait un battement. Pas à cause de la nudité de son dos mais bien à cause de ses marques. Je fermais les yeux un instant expirant par le nez en serrant la mâchoire « Ne dit rien. Fait simplement mettre les bandages. » je rouvre les yeux et les repose sur ses blessures. On peut même distinguer clairement une marque de chaussure "Je suis désolé mais va quand même falloir que je dise quelque chose parce que je dois te demander de quelle façon tu veux que je te les mette. Tu veux que je mette un pansement sur tous tes bleus et autre ?" Parce que si je recouvrais tout de bandage elle allait se transformer en momie la. Mais pour commencer je pris le tube de pommade et j'en mis sur mes mains pour commencer à lui étaler sur le dos. Je faisais très attention. J'avais des mains d'homme, un peu rustres, pas très douces et j'avais peur de lui faire mal en massant un peu trop fort alors je me concentrais pour ne pas faire de bêtise. J'aurais pu trouver ça érotique si ça n'avait pas été pour soulager ses blessures mais la ça n'était pas déstabilisant pour les mêmes raisons « Pourquoi as-tu choisi de devenir flic ? » C'était une bonne question "Je crois pas avoir eu un déclique particulier, enfin plutôt disons que je n'ai pas eu d’événement qui m'a déclenché une révélation et qui a fait de moi quelqu'un qui voulait rendre le justice" Je reprenais un peu de pommade et l'appliquais de nouveau consciencieusement. Peut-être trop ? Peut-être qu'elle allait sentir que j'avais peur d'être maladroit mais je préférais ça que de lui faire mal par accident, je m'en voudrais. "Je crois juste que j'ai toujours un peu été comme ça dans le fond, j'ai grandis avec deux mères qui m'ont inculqué
des valeurs et qui luttaient déjà contre l'injustice et la discrimination"
et elles s'en sortaient très bien. Peut-être que c'était ça qui m'avait poussé à devenir flic au final, que mes mères avaient été des modèles, je n'y avais jamais trop réfléchis à vrai dire "Et puis j'ai voyagé pendant un an, je suis allé dans pas mal de pays différents et j'ai appris plein de trucs, quand je suis revenu j'avais envie de me sentir utile" et quoi de mieux que d'aider les gens pour ça ? "Puis je me suis retrouvé à la circulation" je ris. Je ne pensais pas en dire autant et finalement ça sortait tout seul alors qu'elle ne m'avait pas demandé autant de détails. "Et vous vous travaillez ?" je me rendais compte que j'avais déjà oubliez le tu en fait, faut dire que mon esprit était concentré sur autre chose "Enfin je veux dire, tu travailles ?" parce qu'elle connaissait mon boulot, enfin en tout cas un des deux mais moi je ne savais pas le sien. Bon par contre il allait falloir que j'évite les questions sur son mari. En sachant que ça faisait quatorze ans qu'elle était avec ça risquait de bien restreindre quand même. Habituellement j'aurais demandé comment ils s'étaient rencontrés tout ça, des questions que n'importe qui poseraient, mais la c'était un cas spécial. J'allais renquiller sur le vous mais cette fois ci je m'en rendis compte avant de parler "Tu vis ici depuis longtemps ?" Si c'était le cas j'aurais bien aimé la croiser plus tôt.
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MessageSujet: Re: 431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel   431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel - Page 2 EmptyJeu 15 Mar - 6:56

Gabriel & Jesabel

your silence will not protect you

They never say thank you when you save them
« Vous n’avez pas tort. » Tout le monde possède quelque chose qu’il tente de garder enfoui au fond de lui, que ce soit de la honte ou non, on a tous des jardins secrets et aux yeux de la blonde elle comprend, ne cherchant pas plus loin à savoir ce que Gabriel ne lui dit pas. Ils sont des étrangers, normal qu’il ne souhaite pas partager quelques secrets avec elle, même s’ils se connaissent il ne serait pas obligé de lui en parler. Toutefois, elle découvre bien vite un nouveau sentiment de honte, celui de se ridiculiser devant autrui. Devant lui. Les mots s’échappent de ses lèvres sans qu’elle n’ait la force des les retenir. Ils s’écoulent dans un ramassis qu’elle préfère oublier, mais qui lui pend au nez. Pourquoi perd-elle tout contrôle devant lui ? Elle ne sait pas, mais ça ne lui est jamais arrivé avant cela. Il la déstabilise. Elle lui jette un regard, loin d’être mauvais, Jesabel fait une piètre méchante personne et la malice tout comme toute onde négative, elle n’arrive qu’à les rendre mignon au lieu d’être menaçant. Elle a pourtant essayé à cet instant lorsqu’il se moque gentiment d’elle. C’est vrai qu’à cet instant, elle aurait pu avoir une conversation seule que ça aurait fait la même chose. Elle l’entend rire et un sourire apparaît sur ses lèvres qu’elle colle contre ses genoux. Pourquoi la trouve-t-elle toujours mignonne ? Elle a l’impression qu’il la perçoit comme une gamine, mais peut-être que c’est bel et bien le cas. Elle ne sait rien de plus à ce sujet, en fait, elle ne sait pas grand-chose finalement. Sur lui. Sur ce qu’elle doit penser ou non. Mais elle sait une chose avec certitude, elle ne veut pas le voir partir. Elle veut le garder avec elle un peu plus longtemps et ce n’est pas en étant dans cette voiture qu’elle pourra le garder avec elle. Son corps est courbaturé et assise sur le siège d’une voiture n’aide en rien à stabiliser la douleur. Sa voisine est simplement l’élément déclencheur qui la pousse à l’inviter chez elle. Au fond d’elle, elle sait qu’elle ne devrait pas. Après tout, invité un inconnu chez soi n’est bien souvent loin d’être recommandé. Elle ne peut néanmoins pas s’empêcher de le faire. C’est un sentiment viscéral. Un sentiment qu’elle regrettera sans doute demain, mais à cet instant, elle ne se sent pas envahi par la culpabilité. Elle le convit à faire comme chez lui, dans la mesure du raisonnable. Elle ne l’invite pas à se balader en tenu d’Adam ou encore de passer à la toilette en laissant la porte ouverte comme s’ils étaient un vieux couple. Elle le laisse simplement prendre place dans le salon, elle ne lui offre pas non plus à boire puisqu’il a toujours sa tasse de chocolat, bien qu’il l’ait fini le temps qu’elle aille se chercher une paire de chaussette dans l’espoir de réchauffer ses pieds. Si elle a vraiment besoin de lui. Elle a un mal fou à s’imaginer cet homme tout plaquer pour elle. Elle ne le dit pas, mais elle à peine à y croire. Elle ne veut simplement pas sembler rabat-joie en disant qu’elle ne pense pas qu’il le ferait, tout comme elle ne l’appellerait sans doute pas. « Un vrai superhéros que j’ai devant moi. » Elle sourit. Elle le pense en quelque sorte et il n’y a aucun dénigrement dans cette phrase. Jusqu’à présent, c’est un peu l’image qu’il lui donne avec les collants et la cape en moins. Ce n’est pas plus mal, elle ne l’imagine pas bien vêtu d’une tenue moulante, ce mec c’est plutôt une tenue virile qui lui convient le plus. Elle hésite entre le blouson de cuir ou la tenue plus décontracter, soit un t-shirt et un jean. Tout le contraire de son uniforme de flic, bien que l’uniforme ait toujours eu quelque chose de séduisant. Elle prend place sur le canapé, avant de lui tendre son portable pour qu’il puisse y ajouter son numéro. Elle ne pense pas mettre une photo de lui dans son répertoire, mais elle trouvera bien quelque chose pour l’identifier et qu’elle puisse savoir que c’était lui. Ainsi installé dans son canapé, il semble prendre ses aises, lui dire les choses comme elles sont, sans fioriture, sans mensonge et ça plait à la philanthrope. Plongeant son regard dans les billes océaniques du flic. Il la regarde d’une façon qu’elle ne sait dire si elle apprécie ou non. En fait, ça ne lui déplait pas et c’est sans doute ça le plus gros problème, elle ne sait jamais autorisée à regarder quelqu’un comme elle le regarde lui et vis et versa. Elle perd ses principes dans un méandre de sentiment qui l’envahi au fur et à mesure que les minutes en la compagnie de Gabriel passent. « Étrangement, ça ne me dérange pas le moins du monde. » Elle ne peut s’empêcher de parler d’étrangeté, car c’est bel et bien le cas. Elle fait des choses, elle dit des choses qu’elle n’a jamais osé faire ou dire avant ce soir. Elle laisse un homme entrer dans son monde avec une aisance déconcertante. « Bien, mais si vous dépassez les limites plus de question. » Elle le prévient, en vérité, elle craint qu’il entre encore dans le sujet de son mari. Non pas en parlant simplement de lui, mais plutôt en tentant de lui faire dire des choses dont elle ne désire pas dévoiler. Elle en a déjà beaucoup trop dit et elle s’apprête à faire bien plus que simplement lui dire. Partant pour finalement revenir les mains chargées de produit pour ses blessures. Ce qu’elle va faire, elle ne l’a fait qu’avec sa meilleure amie ou seule. Elle se risque à lui dévoiler une chose qu’elle se garde bien de montrer à qui que ce soit, même sa sœur n’a jamais vu l’étendu de tout cela. Elle fait tout pour cacher cela aux yeux des gens. Une tonne de fond de teint et elle ne porte jamais de vêtement qui découvre trop son dos ou ses jambes. Elle va même jusqu’à porter des t-shirts longs lorsqu’elle est en maillot de bain et elle ne se baigne jamais, pourtant, elle adore l’eau et secrètement nager lui manque, mais c’est trop risqué. Dos à Gabriel, elle sent le poids de son regard sur elle, mais elle ferme les yeux, laissant sa nuisette retomber le long de son corps. Il ne voit que son dos et c’est ce qu’elle veut, ses blessures sont aussi légèrement apparentes sur ses flans et son ventre, mais ça elle peut s’en occuper seule. « Désolé, l’habitude. Je n’ai pas regardé à quoi ressemblait mon dos, je ne sais pas s’il a vraiment de quoi à panser. Mais il arrive parfois que je saigne, donc si tu vois des blessures qui ont besoin d’un pansement… Tu sais comment faire ? Sinon la pommade devrait être suffisante. » Il lui arrive parfois qu’elle se bande le corps lorsqu’elle a l’impression d’avoir quelque chose de cassé, mais cette fois ça ne semble pas être le cas. Elle sait qu’elle devrait aller à l’hôpital, mais elle craint toutes les questions qu’on risquerait de lui poser. Elle ne veut pas en arriver là. Au contact des mains de Gabriel sur son dos, elle grimace. Elle a mal, mais elle sait qu’elle doit passer par-là et ce n’est en rien la faute de son infirmier. Au contraire, elle s’étonne de sa délicatesse. Les yeux fermés, elle se concentre sur le son de sa voix. Elle découvre qu’il a grandi avec deux mères, c’est plutôt hors du commun. Mais elle le laisse parler sans l’interrompre, se plaisant à en découvrir un peu plus sur lui. Il a donc voyagé, elle l’envie. Elle a toujours voulu voyager, mais outre en Afrique ou dans différent État, elle n’a pas vu grand-chose du monde. « Tu devais être utile dans la circulation. » plaisante-t-elle. Elle secoue sa tête à sa question : « Non. Il a quelques années j’étais enseignante à la petite école, mais lorsque Jake… » C’est la première fois qu’elle le nomme devant lui et elle trouve ça étrange. « …a commencé à devenir fleurissant, il dit que je n’avais plus à travailler. Qu’il pourrait subvenir à tout nos besoins. J’ai abandonnée mon emploi et depuis, je joue la femme parfaite… » Elle se mord la lèvre. « Je trouve le moyen de combler mon temps en organisant des galas de charité et j’aide comme je peux ceux qui en ont besoin. Je vais même en Afrique une fois par année pour faire de l’aide humanitaire. C’est le mieux que j’ai à offrir. Ce n’est pas un emploi, mais j’aime ce que je fais. » Elle baisse la tête à nouveau, ses doigts jouent avec le satin de sa nuisette qui se trouve sur ses cuisses. Elle entend sa seconde question, mettant un temps pour réfléchir. « Dans cette maison, quelques années, mais je suis arrivée à DC il y a onze ans. Bien que j’aie grandi à Brooklyn, je suis née toutefois sur une petite île de la côte est, Nantucket. Peut-être que je donne trop d’information. » Elle sourit. « Et toi ? Je pencherais pour la côte ouest. Je me trompe ? » Il a un accent dans sa voix qui lui rappelle l’ouest, ce même accent qu’elle a de nombreuses fois entendues chez les natifs de la Californie. Elle ne le dit pas, mais elle aime bien cet accent. Elle en possède un elle aussi, même si elle l’oubli, mais on peut savoir d’où elle vient même s’il s’est un peu perdu. Elle arrête de parler un instant, se concentrant sur les mains de Gabriel. Elle ouvre ses yeux, regardant devant elle. Ses mains dans son dos fini par la faire gémir. Il y a certes la douleur, mais c’est autre chose qui la fait gémir ainsi. Personne ne l’a touché ainsi depuis tellement longtemps et elle le réalise finalement. Elle ne voit pas cela comme sexuel, bien au contraire, elle n’oserait pas. Seulement, c’est chaleureux, c’est agréable. Elle sent une larme monter et rouler sur sa joue, qu’elle s’empresse de venir effacer du revers de sa main. Elle a l’impression d’avoir oublier la délicatesse de l’homme. Jake n’est plus ainsi avec elle et ça lui manque. « Tu as dit que tu as grandi avec deux mères… Tu as connu ton père ? » demande-t-elle en cherchant une raison de se concentrer sur autre chose que les mains de Gabriel dans son dos.
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MessageSujet: Re: 431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel   431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel - Page 2 EmptyMar 20 Mar - 23:55



❝They never say thank you when you save them❞
Jesabel & Gabriel
Je ne pouvais pas m'empêcher de la trouver attachante quand elle parlait comme ça à répondre elle même avant que je n'ai le temps de le faire. Oui je trouvais ça mignon mais trouver une femme mignonne pour moi ça n'était pas péjoratif. J'aimais bien les femmes qui dégageaient un petit côté mignon, ça m'attendrissait. Ça me donnait envie de les prendre dans mes bras. Si je pouvais je la prendrais dans mes bras. Mais non je ne pouvais pas, on ne se connaissait pas ça serait déplacée, en plus je risquerais de lui faire mal même sans y aller fort vu qu'elle était blessée de partout. Et puis de toute façon je ne pouvais pas me permettre de penser comme ça, elle était en couple et même mariée. A un connard certes mais elle était avec et amoureuse. Alors oui un câlin ça n'avait rien d'une trahison mais son mari était tellement tordu que peut-être qu'il le lui faisait ressentir comme ça, qui sait ? Enfin dans tous les cas on se connaissait trop peu pour que je me permettre ce genre de familiarité. Je ne m'y attendais pas mais finalement elle m'avait invité à la suivre chez elle. Je ne pouvais pas dire non, et à dire vrai je n'en avais pas non plus envie « Un vrai superhéros que j’ai devant moi. » Je levais un sourcil. Je n'étais pas sûr de la façon dont je devais l'interpréter. Est ce qu'elle disait ça parce que je me vantais trop ? Ou que je me rendais disponible un peu comme pour aider une demoiselle en détresse ? Ce qui du coup collait bien avec l'image de superhéro. Même si je ne m'associait en aucun cas à un superhéro, j'étais loin de me faire mousser à ce point. Mais elle avait sourit du coup je ne le prenais pas comme un reproche et décidais de rebondir dessus plutôt par l'humour "J'ai toujours voulu être Zorro" je souris à bon tour. C'est vrai que quand j'étais petit j'adorais Zorro, j'avais regardé toute la série, avec le Sergent Garcia et la petite musique qui l'accompagnait à chaque fois qu'il apparaissait à l'écran. Finalement j'étais pas devenu Zorro mais le Sergent d'ailleurs ! Bon ceci dit il me faudrait quelques kilos en plus et quelques neurones en moins pour devenir ce gentil gros nounours qu'était Garcia. « Étrangement, ça ne me dérange pas le moins du monde. » cool ! C'était déjà ça. C'est vrai qu'en disant vouloir la protéger je me posais la question parce que ça pouvait paraître un peu direct et indélicat. En même temps j'avais beau faire de mon mieux la délicatesse n'était pas toujours mon fort. Pas à tous les niveaux en tout cas. Même si ça n'était pas pour dire quelque chose de négatif puisqu'en soit vouloir protéger quelqu'un ça n'était pas péjoratif même si certaines personnes pouvaient se sentir comme prise en pitié et ne pas apprécier. « Bien, mais si vous dépassez les limites plus de question. » j'haussais les sourcils "Fin du jeu, plus de question du tout ?" du genre même pas je passais à la question suivante ? Si je dépassais une fois la limite c'était finit ! "Va vraiment falloir que je fasse gaffe alors" Je ris légèrement. Surtout que je ne savais pas exactement où elle se trouvait sa limite. Parce qu'on avait déjà abordé des sujets plutôt intimes de sa vie mine de rien. En tout cas j'allais éviter de revenir sur le sujet casse-gueule de son mariage et éviter les questions sexuelles aussi mais ça ça me semblait logique en même temps.

Elle partie un instant pour revenir avec de la pommade et des pansement et me demander de m'occuper de ses blessures dans son dos. Je ne m'attendais vraiment pas à ça, ce qui me surprenais le plus c'était qu'elle me le demande à moi. Enfin en même temps je me doutais que ça ne devait pas être son mari qui s'en chargeait. Mais comment faisait-elle les autres fois ? Il devait bien y avoir quelqu'un d'autre au courant ? Mais c'était à moi qu'elle demandait. Peut-être simplement parce que j'étais la, comme pour lui tenir compagnie, j'étais la et pas les autres. Quand elle dénuda son dos mes yeux se posèrent automatiquement sur ses plaies. Comment ne pas les regarder en même temps ? Ça serait difficile, il n'y avait presque que ça. J'en voyais des tonnes de choses dans mon boulot pourtant le fait d'y être habitué ne me rend définitivement pas insensible. J'avais mal pour elle. Si je pouvais la soulager au moins un peu oui j'allais le faire. « Désolé, l’habitude. Je n’ai pas regardé à quoi ressemblait mon dos, je ne sais pas s’il a vraiment de quoi à panser. Mais il arrive parfois que je saigne, donc si tu vois des blessures qui ont besoin d’un pansement… Tu sais comment faire ? Sinon la pommade devrait être suffisante. » Oui en effet elle saignait à certains endroits. J'évitais d'en rajouter une couche et me mettais au boulot, prenant la pommade dans un premier temps pour l'étaler en contrôlant du mieux que je pouvais la pression de mes mains pour ne pas lui faire mal. Pas sûr que j'y arrive vraiment mais au moins je lui faisais moins mal que quand je massais vraiment pour faire pénétrer une pommade. D'ailleurs je ne perdais pas ma concentration même en lui parlant de moi « Tu devais être utile dans la circulation. » mes lèvres s'étirèrent "Comme défouloir oui, je crois que j'ai entendu des insultes que je ne connaissais même pas" oh oui ils avaient un vocabulaire très fleurit ceux qui se prenaient un PV. Bizarrement ils avaient tous toujours une excuse et c'était jamais de leur faute et vous vous étiez un enculer de pas comprendre ça et de faire votre boulot. Mais c'était comme ça, donc on le faisait quand même et on les laissait rager. Puis si ils allaient trop loin on haussait le ton un bon coup en leur parlant d'outrage à agent et la ils étaient généralement étrangement beaucoup plus docile d'un coup et compréhensif. « Non. Il a quelques années j’étais enseignante à la petite école, mais lorsque Jake… » Jake son mari. Laissez moi deviner, il avait décidé que c'était mieux de l'attendre sagement à la maison ? Comme un bon ptit macho ? « …a commencé à devenir fleurissant, il dit que je n’avais plus à travailler. Qu’il pourrait subvenir à tout nos besoins. J’ai abandonnée mon emploi et depuis, je joue la femme parfaite… » Bingo ! J'oublie de retenir mon soupire mais ce genre de comportement m'agace je n'y peut rien « Je trouve le moyen de combler mon temps en organisant des galas de charité et j’aide comme je peux ceux qui en ont besoin. Je vais même en Afrique une fois par année pour faire de l’aide humanitaire. C’est le mieux que j’ai à offrir. Ce n’est pas un emploi, mais j’aime ce que je fais. » j'haussais les sourcils, je ne m'attendais pas à ça mais j'étais agréablement surpris "C'est vraiment génial ce que tu fais, c'est admirable même" Je comprenais pourquoi elle avait dit qu'il y avait pire qu'elle, elle devait se comparer aux personnes qu'elle aidait. Elle avait le cœur sur la main cette fille "Finalement on se ressemble assez, même si c'est pas tout à fait dans le même domaine on aime aider ceux qui en ont besoin" même si dans son cas elle ne voulait pas vraiment le reconnaître. Ou en tout cas elle ne voulait pas d'aide. « Dans cette maison, quelques années, mais je suis arrivée à DC il y a onze ans. Bien que j’aie grandi à Brooklyn, je suis née toutefois sur une petite île de la côte est, Nantucket. Peut-être que je donne trop d’information. » un éclat de rire m'échappa à sa dernière phrase "C'est pas gênant du tout ça, tu peux parler autant que tu veux" si tout le monde était aussi bavard ça me faciliterait la vie dans mon boulot. Mais ça me plaisait d'en apprendre un peu plus sur elle « Et toi ? Je pencherais pour la côte ouest. Je me trompe ? » J'ouvrais la bouche, impressionné "Je te félicite bravo ! Je pensais pas que ça se remarquait tant que ça !" je ris en reprenant un peu de pommade "Ou alors tu lis dans les pensées et tu as oublié de me le dire, tu arrives à savoir à quoi je pense la tout de suite ?" Bon okay j'étais un peu en train de partir dans un délire tout seul mais peut-être qu'elle allait me suivre. En réalité j'étais bien content que personne ne lise dans mes pensées. Même si je n'avais pas grand chose à cacher on ne va pas se mentir, le pensées divaguaient facilement sans qu'on les contrôles alors c'était mieux si personne ne pouvait les entendre. Au moins dans ma tête je pouvais me dire que je la trouvais très jolie sans que ça n'ai pour effet de l’embarrasser. "Je viens de Los-Angeles plus précisément" oui parce que du coup je n'avais même pas répondu à sa question avec ça. J'étalais de nouveau lentement la pommade dans son dos veillant toujours à ne pas trop appuyer. Cependant un gémissement sortant de sa bouche me déstabiliser. Est ce que ça lui faisait du bien ou est ce que je lui avais fait mal. En la voyant remonter la main jusqu'à sa joue comme pour l'essuyer j'étais obligé d'en déduire qu'elle avait dû avoir une larme et la je me sens mal. Je me dis que j'ai dû un peu trop appuyer sur un endroit un peu plus douloureux alors je retire mes mains "Désolé si j'y suis allé trop fort je voulais vraiment pas te faire mal" oh que non, c'était bien la dernière chose que j'avais voulu faire. Je repose doucement mes mains dans son dos pour étaler ce qu'il reste de pommade mais en faisant cette fois ci encore plus attention du coup « Tu as dit que tu as grandi avec deux mères… Tu as connu ton père ? » j'hochais la tête "En fait j'ai résumé mais avant d'avoir une deuxième mère j'ai eu un père" enfin c'était un petit peu plus compliqué que ça en fait "Quand j'ai eu l'âge de comprendre j'ai appris que j'étais adopté, je ne connais pas mes parents biologique. Vers mes six ans mes parents se sont séparés, je t'épargne les détails, et puis du coup plus tard ma mère s'est trouvé une femme et elles sont toujours ensemble maintenant" en fait j'aurais pu lui dire que ma mère était tombée enceinte et que du coup mon père stérile avec bien compris qu'elle l'avait trompé et l'avait quitté. Mais je n'avais pas envie de donner une mauvaise image de ma mère. J'attrapais un premier pansement et l'appliquait sur une de ses blessures avant de continuer avec les deux autres ayant besoin de pansement. J'attrapais doucement ses bretelles pour les remonter le long de ses bras "Ça y est j'ai finis" j'essuyais rapidement mes mains sur mon pantalon pour retirer le petit reste de pommade. Je me levais pour venir m'asseoir par terre devant elle en tailleur. Après tout elle m'avait dit de faire comme chez moi et puis je me sentais plutôt à l'aise la. Assis comme ça en face d'elle j'étais bien "Dis moi tu as réellement un frère ou bien je suis vraiment le frère inventé de toute pièce pour la voisine ?" je souris. Parce que si elle avait vraiment un frère elle risquait d'être grillé la prochaine fois qu'il viendrait, ou alors elle faisait croire qu'elle en avait plusieurs ? Enfin ceci dit j'espérais pour elle qu'elle n'avait pas à raconter toute sa vie à sa voisine. "Enfin un frère ou peut-être une sœur, tu as de la famille dans le coin ?" Oui parce qu'elle avait peut-être une sœur sauf qu'elle avait pas vraiment pu me présenter comme étant sa sœur, forcément. Ça aurait été marrant mais pas très crédible. A moins que sa voisine ait une très mauvaise vu mais vu qu'elle l'avait reconnu dans ma voiture j'aurais tendance à dire qu'à ce niveau la tout roulait bien pour elle. J'appuyais mes coudes sur mes genoux en joignant mes mains et levais la tête vers elle en souriant "T'invites souvent des gens chez toi ou je suis un privilégié ?" la réponse m'intéressait je dois dire. Peut-être plus qu'elle ne devrait d'ailleurs.
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Jesabel Cummings
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MessageSujet: Re: 431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel   431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel - Page 2 EmptyMer 21 Mar - 5:28

Gabriel & Jesabel

your silence will not protect you

They never say thank you when you save them
Pourquoi les justiciers portent toujours des masques ? C’est ce que se demande Jesabel en regardant Gabriel. Quel masque peut-il porter ? Que cache-t-il ? Elle s’interroge sur ses secrets, mais elle n’a aucun droit sur ceux-ci. Seulement, en tant que justicier qui se respecte, il doit bien avoir des secrets. Des choses qu’il cache aux yeux des gens. « Je n’y connais rien, mais Zorro n’a rien à voir avec un superhéros, il n’est pas plutôt un justicier masqué, tout simplement ? » Dans le peu de souvenir qu’elle a en lien avec la culture cinématographique, elle se souvient d’un californien défendant le peuple. Peut-être que Gabriel n’est pas si loin d’être ce justicier ? Elle l’imagine peut-être un peu moins dégainer pour taillader un G en guise de signature. Elle devrait peut-être regarder le corps de Jake pour s’assurer qu’un G ne décore pas son corps. Elle s’égare dans ses pensées, une chose qu’elle n’a pas fait depuis un moment. Elle se plait simplement à imaginer Gabriel en Zorro, elle l’aurait plutôt imaginé dans un costume moulant, découpant ses muscles, car ça, elle en est certaine sous ces vêtements il doit avoir un corps musclé. Des bras puissants, un torse sécurisant… Son corps devait mettre en confiance, protégeant de sa simple présence toute personne en ayant besoin. C’était pourquoi le fait qu’il désir la protéger ne semble pas tant le déranger, bien au contraire, entre ses mains, elle sait qu’elle pourrait se sentir en sécurité. Mais de quoi ? Son mari ? Ça c’est une autre histoire, car bien que Jake ne soit pas parfait, elle n’éprouve pas la sensation qu’on doit la protéger de lui. En tout cas, il ne peut décidément pas la protéger de ses questions, il semble en avoir tellement à lui poser. Mais elle met ses limites. Elle ne veut pas parler de Jake, tout du moins, elle ne veut pas que lui en parle. Elle est prête à dire ce qu’il peut savoir, mais elle craint les questions qu’il pourrait poser à propos de son mari. Elle ne veut pas entrer dans ce sujet délicat. Elle fronce les sourcils, réfléchissant à sa question : « Tout dépendra de l’ampleur de la question qui pourrait être posé. Si j’estime que le jeu doit prendre fin, il prendra fin. » dit-elle finalement en posant son regard sur lui. S’il va trop loin, elle préféra mettre fin à tout cela avant d’être blessée. Elle n’est pas là pour être jugé, elle est chez elle, il est son invité et d’aucune façon elle ne désir qu’il s’insinue trop loin dans son intimité. « Ce n’est pourtant pas sorcier, évitez simplement les sujets concernant mon époux. » Il reste tant de sujet pouvant être exploiter sans aborder Jake, qu’elle est certaine qu’il trouvera de quoi la questionner. Après tout, ils ignorent tout l’un de l’autre. Désormais dos à lui, elle trouve sa présence dans son dos encore plus sécurisante, agréable. Ses mains, elle tente de ne pas penser à elles et pourtant, elle sent le contact de la pulpe de ses doigts contre sa peau meurtrie. Une sensation agréable tout comme étant inconfortable, bin que ce ne soit pas sa faute, il ne peut pas chasser la douleur qu’elle ressent. Elle sent qu’il est minutieux et délicat avec elle, mais ça lui fait tout de même mal, ça lui fera toujours mal et elle ne le tient pas fautif, bien au contraire. Il lui rappel Jada et elle sourit à cette pensée. Différent, tous deux cherchent à la protéger, la voit comme la poupée de porcelaine qu’elle est. « Je ne comprends pas pourquoi les gens s’en prennent à la police. Vous n’avez pas un emploi facile et pourtant, c’est votre boulot. Les gens devraient accorder plus de respect à cela aux lieux de passer leur temps à vous rabaissez. » Cette injustice injustifiée selon elle. Trop bonne. Trop naïve. Elle l’a laissé parler de lui, mais puisque c’est son tour, elle s’ouvre, elle dit les faits. Elle n’est nulle autre qu’une femme trophée, ce genre de femme qu’on voit dépenser sans compter l’argent de leur époux, sauf que Jesabel n’est pas ainsi. L’argent elle ne le dépense pas en bien matériel, exception les chaussures, elle l’utilise pour aider. Pour changer le monde le temps qu’elle vit encore sur cette Terre. Elle sait qu’elle ne pourra sans doute pas faire un gros impact, mais elle sait qu’elle améliore la vie de certain, elle leur rend plus agréable. Et pour elle, c’est bien plus important que se dire qu’elle a été enseignante un jour dans son passé. « Merci. » Elle sent ses joues devenir chaudes, et elle est heureuse de lui faire dos ainsi il ne le remarque pas. « C’est vrai. » confit-elle en tournant légèrement la tête pour poser son regard sur Gabriel. Elle n’a jamais vu la chose ainsi, mais il n’a pas tort. Un bref coup d’œil avant de revenir regarder devant elle. Son rire la surprend, mais elle sourit. Acquiesçant d’un léger mouvement de tête pour dire qu’elle a compris, elle peut parler. Il lui arrive d’être bavarde, mais là elle ignore pourquoi elle lui dit tant sur elle. Il n’a pas besoin de savoir où elle est née… Elle pourrait simplement se contenter de répondre à ses questions, mais non. Elle ressent le besoin de simplement parler, de lui parler. C’est à son tour de rire. Lire dans la pensée des gens. Qu’est-ce qu’elle aimerait faire cela ! « Sans doute que je ne devrais pas rester avec mon mari. » Son ton est sérieux, mais elle se doute qu’il y pense, surtout en regardant son dos qu’il continue de masser pour y appliquer ladite pommade. « Ou alors, que je fais le meilleur chocolat chaud que tu as bu de ta vie. Oh je sais, ton sandwich te manque. » Elle a préféré finir sur des plaisanteries, ne cherchant pas à alourdir l’atmosphère. « Non, je ne lis pas dans les pensées. J’ai simplement reconnu un accent de l’ouest. » Los Angeles. La ville des anges. Étrange quand elle y pense. Elle se garde bien de lui demander s’il n’en est pas un. Un ange. C’est cliché et complètement ringard, mais cette réflexion lui a tout de même traversé l’esprit et elle se réconforte en se disant qu’il ne peut lire dans ses pensées. Mais si c’était le cas, peut-être aurait-il réaliser qu’elle a mal. Non pas par sa faute, il ne fait que ce qu’elle lui a demandé de faire. Et ce n’est pas parce qu’elle couine qu’elle lui en veut. « Ne t’en fais pas. Ce n’est pas ta faute. » Adopté. Elle se sent triste pour lui, ne pas connaître ses parents biologiques, bien qu’elle sache que parfois il vaudrait mieux ne pas les connaître tout simplement. Elle a envie d’en savoir plus, mais elle sait qu’elle n’a pas à savoir. S’il ne connait pas ses parents biologiques, peut-être que c’est son choix et elle n’ira pas lui demander des explications. Et pourtant, elle ne put s’empêcher : « Je suis désolé pour tes parents biologiques. Tu n’as jamais cherché à les retrouver ? » Elle se mord la lèvre inférieure, elle a été trop loin, elle le sait. « Enfin, tu n’es pas obligé de me répondre. » Elle sent ses doigts glisser une nouvelle fois sur sa peau, non plus pour appliquer de la pommade, mais pour remonter délicatement ses bretelles. « Merci. » dit-elle en s’assoyant plus confortablement dans le canapé, le voyant venir prendre place devant elle. Elle s’étonne de le voir s’asseoir à même le sol. Elle se perd dans ses prunelles saphir. Elle sourit. « Je l’ai inventé. » Elle rigole comme une gamine se sentant espiègle, cachant son sourire avec ses doigts. « Je plaisante. J’ai un frère et une sœur, mais ne t’en fais pas il n’y aucune chance qu’elle croise mon frère un jour. » Elle se pince les lèvres. « Je n’ai pas vu mon frère depuis de nombreuse année, de ce que ma sœur m’a dit il serait désormais à DC lui aussi. Mais je ne pense pas qu’on se verra d’aussitôt. Sinon ma sœur vit ici aussi. Mais ils sont ma seule famille. Nos parents sont morts lorsqu’on était jeune. On a été confié à nos grand-parents, ils sont toujours en vie, mais je ne vais pas très souvent les voir. » Elle ne désir pas leur montrer ce qu’elle est devenue, elle ne veut pas répondre à leur question. Elle en serait incapable, autant de leur dire la vérité que de leur mentir. Elle pointe du doigt une photo sur le mur. « C’est ma sœur. » dit-elle en regardant une photo où elle et une autre femme se trouve entouré d’enfant. « Elle était venue avec moi cette fois-là. » Elle ne le dit pas, mais elle aime bien amener quelqu’un avec elle durant cette période, ça lui fait oublier qu’elle est seule sinon. « Pardon ? » s’étonne-t-elle. Privilégié… Mais il est vrai que peu de gens viennent chez elle. « Mmmh. Je dirais entre les deux, les amis de mon mari viennent une fois de temps en temps avec leur épouse, mais sinon je vois souvent mes amis à l’extérieur. Ça évite les questions ou les risques de voir certaine chose. » Elle prend une pause, se mordant la lèvre. « Donc oui, tu es un peu privilégié. » Même Jada ne vient pas tant, en fait, Jesabel essaie d’éviter que sa meilleure amie croise son mari. Inutile de créer de la friction. Elle baisse la tête, tirant sur son élastique à cheveux pour défaire son chignon, laissant ses cheveux blonds tomber en cascade autour de son visage. « Pourquoi cette question ? » demande-t-elle en passant sa main dans ses cheveux pour leur donner un peu de vie. Mais elle se demande réellement pourquoi il veut savoir cela. Qu’est-ce que ça pourrait lui apporter ? Elle le regarde. « Si je n’étais pas marié, est-ce que tu m’embrasserais ? » Cette question, elle ne l’a pas réfléchi, mais elle sait qu’elle n’est pas privilégiée, qu’elle n’a rien de plus que les autres femmes qu’il a pu tirer d’un mauvais pas. Et pourtant, elle veut savoir. Elle sait qu’il la trouve joli ou du moins elle croit, il lui a tout de même fait un semblant de compliment un peu plus tôt dans la voiture. Et elle doit bien admettre qu’elle a besoin de compliment, elle a besoin de se sentir belle, car pour l’heure ce n’est pas ce qu’elle ressent en sentant la douleur irradier dans son dos, mélangé à la sensation de ses mains qui l’ont caressées.  
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MessageSujet: Re: 431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel   431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel - Page 2 EmptyJeu 22 Mar - 3:13



❝They never say thank you when you save them❞
Jesabel & Gabriel
« Je n’y connais rien, mais Zorro n’a rien à voir avec un superhéros, il n’est pas plutôt un justicier masqué, tout simplement ? » Dans le mile ! C'est vrai que j'avais sortis Zorro alors que finalement il n'était pas dans la catégorie des super-héros du genre Captain America et tout le tatouin "Exact c'est vrai vous avez raison, mais en tout cas c'était le héro de mon enfance" c'était une image un peu stéréotypée comme tous les super-héros et justiciers mais il avait des valeurs que j'aimais beaucoup et dont je m'inspirais beaucoup à l'époque. Peut-être même toujours aujourd'hui au final. Même si je ne cachais pas mon identité et que j'avais des défauts comme tout le monde j'essayais au moins d'aider à rendre la justice. Même si aujourd'hui avec le mari de Jesabel ça n'avait pas très bien fonctionné. Parce que malheureusement ici la justice pouvait être corrompue et ça c'était un point qui me plaisait beaucoup moins. Comme si le fait de payer avec de l'argent allait vraiment faire retenir la leçon. Après des années de prisons la il y avait un général un réel changement, faut dire qu'ils avaient le temps de réfléchir et d'évoluer même si ça n'était malheureusement pas le cas pour tout le monde. Mais payer puis sortir ça faisait quoi ? Est ce qu'il y avait vraiment des mecs qui avaient arrêté d'être violent de peur de devoir encore payer ? La thérapie en comptant sur l'avarice ça fonctionne pas tant que ça. Sur certains point l'Amérique avait encore du retard, des progrès restaient à faire. « Tout dépendra de l’ampleur de la question qui pourrait être posé. Si j’estime que le jeu doit prendre fin, il prendra fin. » Elle posait clairement les bases la. Quand elle le déciderait ça s'arrêterait. « Ce n’est pourtant pas sorcier, évitez simplement les sujets concernant mon époux. » Ouais ça je l'avais deviné tout seul je m'imaginais juste qu'il devait y avoir d'autres sujets à ne pas aborder. J'hochais la tête "Bien Madame" puis je souriais légèrement en la regardant. Elle savait aussi montrer un minimum d'autorité finalement même si elle n'avait en aucun cas été agressive dans sa façon de parler. « Je ne comprends pas pourquoi les gens s’en prennent à la police. Vous n’avez pas un emploi facile et pourtant, c’est votre boulot. Les gens devraient accorder plus de respect à cela aux lieux de passer leur temps à vous rabaissez. » Ah ben ça... Je devrais peut-être l'engager pour rabâcher ce slogan dans les rues ? Blague à part j'étais tout à fait d'accord avec elle. D'ailleurs ça serait vachement arrangeant si tout le monde avait l'intelligence de penser comme elle pour ça, franchement, ça paraissait logique non ? Un minimum de jugeote et c'était bon, mais non les gens ne pensaient égoïstement qu'à eux pour la plus part et ça partait en excès de rage inutile. "Beaucoup ne voient pas plus loin que le bout de leur nez et pensent qu'on est la uniquement pour les faire chier, les gens ne voient que ce qui les arrange de toute façon" parce que bizarrement quand les flics réglaient des problèmes la ça ouvrait pas sa gueule mais dès que y'avait un ptit truc qui ne leur convenait pas en oubliait tout le reste pour se focaliser la dessus. Et en plus à tord la plus part du temps.

« Merci. » C'était une Zorro elle aussi finalement ! En tout cas j'aimais beaucoup la personne que je découvrais au fur et à mesure. J'arrivais presque pas à lui trouver de défaut, c'était une très belle personne et elle était juste amoureuse du mauvais gars. « C’est vrai. » je relevais les yeux sur elle quand elle tournait la tête vers moi et souriait. Au moins je me disais que quand elle partait en mission humanitaire elle était loin de son mari violent. Ça lui faisait au moins un répis. Certes je ne savais pas exactement à quelle fréquence elle se faisait violenter mais elle m'avait fait comprendre que c'était quand même quelque chose de régulier alors ça pouvait au moins lui servir d’échappatoire en plus de lui apporter d'autres choses positives. « Sans doute que je ne devrais pas rester avec mon mari. » je ne m'attendais pas à ce qu'elle raborde le sujet, elle qui me l'avait plus ou moins interdis. C'était une déduction facile ceci dit. Mais du coup je ne savais pas vraiment si je devais rebondir dessus la pour le coup, sauf qu'elle repris d'elle même la parole d'une façon plus légère « Ou alors, que je fais le meilleur chocolat chaud que tu as bu de ta vie. Oh je sais, ton sandwich te manque. » Un rire m'échappé spontanément "Alors la bravo ! C'est pile exactement ce que je pensais ! T'as vraiment un don !" Bon en réalité mon sandwich je l'avais juste complètement oublié, mais alors complètement ! Quand à son chocolat chaud c'était probablement réellement le meilleur que je n'ai jamais bu ! Etant donné que je n'en buvais pas souvent je n'avais jamais vraiment trop testé les différents assaisonnement, j'étais plutôt resté dans le classique alors la tasse qu'elle m'avait gentiment apporté avant même de savoir qui j'étais avait été une agréable surprise ! « Non, je ne lis pas dans les pensées. J’ai simplement reconnu un accent de l’ouest. » C'est vrai que je ne m'en rendais pas vraiment compte moi, j'avais l'habitude de m'entendre avec et ça n'était pas non plus un accent excessif. Mais il était assez présent pour qu'elle ai réussis à le repérer et à l'identifier ! « Ne t’en fais pas. Ce n’est pas ta faute. » j'avais eu peur de lui avoir fait mal en l'entendant. D'ailleurs c'était probablement le cas et je faisais pourtant de mon mieux, je m'appliquais comme un enfant qui ne voulait pas dépasser de son coloriage. Me dire que je lui faisais mal, même si je ne pouvais pas faire autrement malgré tous mes efforts, ça me faisait chier. Clairement. EN venant ici je n'aurais jamais imaginer me retrouver dans cette situation ça c'était évident mais alors lui faire mal en voulant la soulager... C'était mal foutu tout ça. « Je suis désolé pour tes parents biologiques. Tu n’as jamais cherché à les retrouver ? » Je secouais la tête. « Enfin, tu n’es pas obligé de me répondre. » Elle n'avait pas à s'excuser elle n'y était pour rien, après tout les seuls responsables c'était mes parents biologiques. Et encore, on ne savait pas ce qui les avait poussé à faire ça du coup je ne leur en avait jamais voulu, après tout sans ça je n'aurait jamais connu ma famille donc je ne regrettais rien personnellement "Non non je n'ai jamais ressentis de manque à ce niveau la donc ma curiosité a pas été si grande que ça. Après si eux ils veulent me retrouver un jour ça ne me dérangerait pas" A vrai dire c'était un sujet que je prenais avec légèreté même si ça pouvait être surprenant pour beaucoup de personnes. Mais j'avais trop peu d'élément pour juger. Peut-être que si je les rencontrerais je serais déçu ou peut-être que je les comprendrais, ça dépendra de la vérité que j'apprendrais ce jour la. Dans tous les cas je pensais avoir assez de recule par rapport à ça pour ne pas que ça me torture l'esprit à être dans le doute. Certes je ne savais pas la vérité mais ça ne m'avait jamais empêché de vivre. "Peut-être que si je les vois un jour tu seras dans les premières au courant, on dirait que je suis bien partit pour te parler de choses que j'ai pas l'habitude de raconter" Peut-être que c'était le fait que je sois entrée si profondément dans son intimité sans qu'elle n'en ai le choix qui faisait que je lui permettais d'entrer dans la mienne. Je ne savais pas. Ça n'était pas des choses que je cachais vraiment je n'avais juste pas vraiment l'occasion d'aborder le sujet. Et la tout sortais tellement facilement. « Merci. » je repose tous sur la table en me levant "Y'a pas de quoi" si je pouvais rendre service. Je m'asseyais en face d'elle sous l'envie du moment, juste pour nous éviter d'avoir à chercher une position confortable pour se regarder sans se tordre le dos « Je l’ai inventé. » je souris alors qu'elle riait "Merde alors, j'existe pas" en tout cas la couverture qu'elle m'avait inventé. J'aimais bien la voir rire, même si c'était dommage qu'elle cache son sourire derrière sa main « Je plaisante. J’ai un frère et une sœur, mais ne t’en fais pas il n’y aucune chance qu’elle croise mon frère un jour. » Ah donc elle avait bel et bien un frère. En revanche pourquoi je devrais m'en faire de le croiser ? Et pourquoi je ne risquais pas de le croiser ? J'avais envie de savoir mais je ne savais pas vraiment si elle avait envie de me raconter des choses aussi personnelle « Je n’ai pas vu mon frère depuis de nombreuse année, de ce que ma sœur m’a dit il serait désormais à DC lui aussi. Mais je ne pense pas qu’on se verra d’aussitôt. Sinon ma sœur vit ici aussi. Mais ils sont ma seule famille. Nos parents sont morts lorsqu’on était jeune. On a été confié à nos grand-parents, ils sont toujours en vie, mais je ne vais pas très souvent les voir. » "Oh" c'était sortit automatiquement la. J'avais arrêté de sourire. En réalité je ne m'attendais pas du tout à ça "T'as pas eu une vie facile décidément" c'était le moins qu'on puisse dire. Et maintenant qu'elle pourrait être heureuse avec un mari et ben non, elle subissait encore. Est ce qu'elle avait été une horrible personne dans une autre vie et que le karma s'abattait sur elle ? Cette jolie blonde innocente ? Non impossible. La vie était injuste, rien de nouveau, et ça se confirmait encore aujourd'hui. Il suffisait de la regarder pour se rendre compte qu'elle ne méritait pas un quart de ce qui lui était arrivé. « C’est ma sœur. » je suivais son doigt pour regarder la photo qu'elle pointait « Elle était venue avec moi cette fois-là. » je souriais en regardant la photo avant de reporter son regard sur elle "Ça devait être sympa d'y aller en famille" en tout cas sa sœur avait l'air adorable elle aussi "J'ai aussi une petite sœur pour ma part mais pas de frère" Ah oui maintenant je n'attendais même plus qu'elle me pose des questions. Décidément. Au moins on pouvait dire que je me sentais à l'aise malgré la situation particulière. « Pardon ? » Elle voulait vraiment que je répète ou bien elle trouvait ma question un peu bizarre ? « Mmmh. Je dirais entre les deux, les amis de mon mari viennent une fois de temps en temps avec leur épouse, mais sinon je vois souvent mes amis à l’extérieur. Ça évite les questions ou les risques de voir certaine chose. » Ouais je devinais facilement de quelles choses elle parlait « Donc oui, tu es un peu privilégié. » je ne pouvais pas m'empêcher de sourire. Plutôt fier malgré tout mais j'évitais d'en rajouter une couche parce que je savais qu'elle ne m'aurait probablement pas invité à rentrer si je n'avais pas été au courant ce que lui faisait subir son mari. Du coup ma petite fierté était probablement un peu déplacée et c'était pour ça que j'essayais quand même de retenir mon sourire. « Pourquoi cette question ? » Ah merde... Moi qui voulait éviter de rajouter quelque chose la je ne savais pas trop quoi lui répondre. Je haussais légèrement les épaules "Curiosité mal placée ?" c'était ce que c'était après tout alors comme je ne voyais pas comment justifier autrement cette question autant lui dire. Je le regardais passer ses doigts dans ses cheveux mais elle me sortit rapidement de ma rêverie « Si je n’étais pas marié, est-ce que tu m’embrasserais ? » J'haussais les sourcils. La pour le coup je ne m'y attendais vraiment mais alors vraiment pas ! C'était... Wow ! On pouvait faire pause la ? J'étais perdu, je n'étais même pas persuadé qu'il y ai réellement une bonne réponse à donner. Moi qui était loin d'être coincé et plutôt à l'aise dans les sujets habituellement tabou je me retrouvais d'un coup plutôt nerveux "Been.. Je.." Je ris avant de me gratter la tête une seconde "Moi qui pensait qu'on devait pas être indiscret" là la limite était dépassée c'était quand même délicat comme question. Et pourtant j'allais probablement répondre quand même "Si tu étais célibataire... Oui je tenterais sûrement ma chance" avec ce type de question de toute façon j'étais bien obligé de donner une réponse directe. Est ce qu'elle allait me voir comme un mec trop dragueur qui sautait sur une fille qu'il ne connaissait que depuis le jour même ? Même en même temps je ne pouvais pas non plus lui dire non. En plus d'être vexant pour elle ça serait faux. Jesabel était mariée et je m'interdisais de penser à quoi ce que soit de style mais ça ne voulait pas dire que je n'en avais pas envie pour autant "Physiquement t'es très jolie mais en plus de ça t'as beaucoup de charme alors dans d'autres circonstances oui j'aurais bien voulu t'embrasser" j'allais finir par regretter sur tous les points qu'elle ai un mari si elle continuait ses questions sur la même lancée. "Pourquoi cette question ?" Ben oui du coup j'étais forcément curieux, ça n'était pas simplement une question sur moi la, ça la concernait aussi "T'aurais envie que je t'embrasse ?" je savais que la question risquait de l’embarrasser mais j'espérais qu'elle me réponde et non qu'elle mette un stop au jeu comme elle avait dit qu'elle le ferait plus tôt si ça allait trop loin. Moi j'avais joué le jeu après tout et lui avais donne sa réponse. Bon j'étais d'accord que c'était encore plus délicat pour elle vu qu'elle était en couple, ça ne se faisait pas de dire qu'on aurait envie d'embrasser un autre homme. Ceci dit on était que nous deux il n'y avait personne pour nous entendre et ça n'était pas moi qui allait aller le répéter. En plus de ça elle savait déjà qu'elle ne serait pas la seule qui aurait eu envie de le faire ce qui devait bien enlever la peur de se sentir conne à être dans un sentiment non réciproque. Enfin je parle de sentiment parce que je ne vois pas quel autre mot mettre dessus mais on en était pas à parler de sentiments entre nous non plus, bien loin de la. Juste une supposition sur un baiser dans une réalité alternative au final donc on était loin d'être dans la situation où il pourrait se passer quelque chose. Elle me semblait tellement amoureuse que ça me semblait impossible que ça arrive de toute façon. Pourtant je pense que même en étant mariée ça ne me gênerait pas qu'on s'embrasse. Je n'avais pas pour habitude de tourner autour de femmes mariées ou en couple non c'était pas ça. Juste qu'en voyant le mari en question je n'aurais pas vraiment de remord je pense. Il ne méritait pas sa femme. "Tu sais que t'es pas ordinaire ? Et je parle dans le sens potitif" et elle était aussi surprenante elle venait de me le prouver encore avec sa question inattendue "En tout cas je risque pas de t'oublier de si tôt" et si jamais on se revoyait j'aurais pas le temps de l'oublier de toute façon. "Je regrette pas d'être venu ce soir" je m'en serais voulu d'être passé à côté d'une telle rencontre. Une belle rencontre, et en plus j'avais appris plein de truc, en aucun cas je n'avais perdu mon temps même si la mari n'était pas la et que je n'avais pas eu à le surveiller "Faudrait qu'on se revoit un de ses quatre si t'as envie" je levais les mains en souriant "En tout bien tout honneur hein"
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MessageSujet: Re: 431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel   431 > They never say thank you when you save them | Jesabriel - Page 2 EmptyVen 23 Mar - 8:58

Gabriel & Jesabel

your silence will not protect you

They never say thank you when you save them
Jesabel n’a aucune difficulté à imaginer Gabriel avoir pour héro le justicier masqué qu’est Zorro. Ça l’amuse même de découvrir un peu plus sur l’homme qui se trouve avec elle. La manière dont il lui fit part de cela semble tellement spontané, qu’elle est plus que ravie de savoir une chose qu’il ne doit pas dire tous les jours. Et dans ce petit jeu qu’ils viennent de se lancer, la blonde n’aurait pas eu l’idée de poser cette question aussi banale que soit celle-ci. Elle peut malgré tout en savoir long sur lui en sachant simplement qui pouvait être son héro d’enfance. Elle, elle penche plutôt pour Cendrillon, cette jeune femme dépourvue de tout qui se fait sauver par un prince. Elle ne le cache pas, Jesabel est très fleur bleue et elle a toujours chercher à trouver son prince charmant. Elle croit l’avoir trouvé avec Jake, mais est-ce vraiment le rôle d’un prince ? Il peut d’avantage avoir celui de la marâtre. Elle élude cette pensée, son mari, elle l’aime et inutile que le jeune homme près d’elle passe la soirée à en dire du mal. Elle n’en a pas envie et très vite, elle met les points sur les i et les barres sur les t. Autant être clair, elle peut arrêter le jeu dès qu’elle trouve celui inapproprié. Elle n’a pas besoin jouer au faux-semblant avec lui, elle ne le connait pas et donc elle n’a pas besoin de faire bonne figure comme elle se doit de le faire devant les amis de son mari. Il semble comprendre les limites et ça la rassure, car elle commence à bien l’aimer et elle trouverait dommage de couper les ponts aussi rapidement. Elle lui adresse un sourire, mais elle ne dit pas le fin fond de sa pensée, les gens sont devenus individualiste. Ils n’ont besoin de personne et ne pense qu’à eux, normal que rabaisser la police est devenue monnaie courante. Les gens ne se regardent pas eux-mêmes, c’est donc facile de pointer du doigt les autres et les rabaisser encore et encore en disant qu’on peut faire mieux, alors que non. Jesabel n’approuve pas cette pensée, mais elle n’est qu’un grain de sable dans ce monde de poussière. Elle ne peut pas y changer grand-chose, elle tente de son mieux de faire son mieux, comme elle peut, mais elle ne révolutionnera pas le monde et elle le sait. Elle ne fait que poser des pierres que d’autre pourront continuer d’agrandir si quelqu’un souhaite continuer sur sa voie. Bonne joueuse, elle répond aux questions que le policier lui pose. Elle joue franc-jeu, peut-être un peu trop en lui disant qu’il doit penser qu’elle ne devrait pas rester avec son mari. Elle est certaine qu’il pense à cela et même si c’est déplacé, même si elle lui a dit de ne pas aborder le sujet, c’est sorti sans qu’elle prenne le temps de peser ses mots. Elle sait qu’ils sont vrais, qu’il le pense, mais ça ne l’ébranle pas parce qu’elle sait qu’elle aime Jake et qu’elle restera avec lui quoi qu’il arrive. C’est con. Beaucoup lui dirait de partir, de le quitter, qu’elle pourrait trouver mieux, mais elle ne veut pas. Pourquoi devrait-elle le quitter alors qu’elle l’aime encore ? C’est irrationnel, mais elle l’est totalement. Ne se laissant pas submergé par ses propres paroles, elle sourit. Ce mec s’arrange décidément pour lui faire plaisir ou alors pour la faire sourire. Elle ne se rappelle pas avoir autant sourit avec un homme depuis tellement longtemps. « Et tu pensais à ton sandwich ou le chocolat chaud ? » demande-t-elle en sourire au coin des lèvres. Elle est curieuse de voir ce qu’il pense vraiment, même si elle sait que c’est sans doute plutôt la troisième chose, mais qu’elle préfère se dire que ce n’est pas le cas. Ce n’est pas cela à quoi il pense. Il ne peut pas penser à cela, pas en étant si délicat avec elle. Elle s’étonne en silence de sa douceur, de l’effort qu’il met sans doute à ne pas faire de pression sur ses ecchymoses. Il réussit, bien que parfois la douleur est simplement trop forte, mais pour cela il n’y est pour rien et elle ne se voit pas le réprimander pour une chose dont il n’est même pas le déclencheur. Elle se sent peiné de découvrir que les parents de Gabriel l’ont abandonné, une autre chose qu’elle a une misère folle à comprendre. Pourquoi des parents abandonnent leur enfant ? Elle sait qu’il existe dix mille raisons pourquoi certain les abandonnes, mais elle n’arrive pas à leur pardonner. Alors que d’autres qui aimeraient rester prêt des leurs leur sont arrachés. Il y a parfois tant d’injustice dans ce monde. « Ah bon ? Tu n’es pas du genre à beaucoup parler de toi en général ? » demande-t-elle avec innocence. Elle s’étonne une fois de plus en l’écoutant, ils se connaissent depuis si peu de temps et pourtant, elle se sent à l’aise avec lui comme si leur rencontre remontait à quelques années. Certes, elle ne connait rien de lui et inversement, mais elle s’ouvre à lui comme il s’ouvre à elle. Chacun fait leur pas vers l’autre et elle s’attache. Elle s’attache à cet homme comme elle s’attache à beaucoup de gens, mais elle sent une différence, qu’elle n’arrive pas à mettre le doigt dessus. Son dos crémé de pommade, elle reprend place dans le canapé, cherchant une position confortable tout en restant face au policier désormais assis à même le sol. Si lui s’est ouvert sur sa famille, c’est son tour maintenant. Ce qui a pris du temps à parler avec tant de légèreté, aujourd’hui elle en parle plus aisément. Elle n’a plus peur de dire que ses parents sont décédés. Ce qui autrefois semblait être impossible, se disant que si elle les qualifiait ainsi jamais ils ne reviendraient. Elle avait fini par comprendre que c’était un fait, ils ne reviendraient jamais. « Pourquoi ? Parce que j’ai perdu mes parents ? C’est vrai que lorsque j’étais jeune j’espérais les voir revenir. Mais je devais me rendre à l’évidence, la mer ne nous les redonnerait pas. Mais rien empêche que j’aie eu une très belle vie, j’ai une très belle vie. » Elle omet de ce bémol, Jake. Parfois c’est difficile, mais elle aime sa vie et pour rien elle ne l’échangerait. Elle lui sourit. « La tragédie ne rend pas toujours les vies difficiles, mes grand-parents ont très bien prit soin de nous, on a eu droit à un foyer tout aussi chaleureux et aimant que celui qu’on avait. » Elle n’a pas grandi dans le luxe et l’abondance, mais elle n’a jamais cherché à être riche, c’est son mari qui l’est devenu et elle aussi par conséquent. En fait, elle pense avoir une belle vie, certes elle aurait aimé connaître ses parents, mais pour le reste, elle n’a rien à se plaindre. « Oui, en fait, j’amène souvent quelqu’un avec moi. C’est bien de faire connaître autre chose aux gens. » Souvent trop enfermé dans leur propre vie, ils en oublient les autres. La vie ne se limite pas qu’à ce qui nous entoure et ça Jesabel l’a bien compris. L’herbe n’est pas toujours plus verte chez un voisin, mais on peut l’aider à la rendre plus vivifiante. « Tu aurais préféré un frère ? » demande-t-elle. Elle connait les pour et les contre des deux pour les avoir eus dans sa vie, mais elle ne pourrait dire si elle préfère l’un plus que l’autre même si elle n’a aucun conflit avec Allie. Les questions prirent une tournure qu’elle n’a pas du tout envisagé, mais elle n’est que légèrement déboussolé par celles-ci. La curiosité. Elle ne peut que comprendre, puisque c’est ce qui l’a animé depuis le moment où elle a commencé à parler avec lui. L’envie d’en apprendre plus et pourtant, ce n’est pas dans ses habitudes. La sienne vient tout juste de frapper. Elle en perd ses mots en réalisant ce qu’elle vient de lui demander, ce n’est pas dans ses habitudes, mais elle veut tout de même savoir. Flatter son égo en quelque sorte. Elle remarque tout de même son embarras et elle regrette aussitôt cette question qui se veut complètement stupide. Au fond à quoi bon savoir ? Elle est mariée, rien ne pourra y changer quelque chose ! « Je n’ai pas dit qu’on ne pouvait pas l’être, seulement éviter de parler de mon mari. » répond-t-elle en ramenant ses jambes contre son corps, entourant celles-ci de ses bras et appuyant son menton sur ses genoux sans pour autant le quitter du regard. Un sourire nait à la commissure de ses lèvres, alors qu’elle sent son cœur battre un peu plus rapidement. Un frisson la parcours. Elle n’a pas pensé que ça pourrait lui faire tant d’effet que cela. Elle se ravise. Se disant qu’elle est mariée. Le répétant dans sa tête comme un mantra. « Merci. » C’est tout ce qu’elle trouve à lui dire après ses compliments, elle ne pensait pas avoir plus qu’un oui ou un non. C’est elle cette fois qui hausse les épaules : « Peut-être l’envie d’entendre que je suis toujours désirable malgré mon apparence. » Elle est franche, elle ne l’a même jamais été autant qu’à cet instant. Mais il a vu son corps, il sait à quoi elle ressemble et pourtant, il lui dit qu’elle est jolie. Elle a besoin de ce genre de parole pour ne pas sombrer et bien qu’elle pourrait écouter sa meilleure amie lui dire la même chose encore et encore, l’entendre de la bouche de quelqu’un d’autre lui fait un velours au cœur. Le rouge lui monte aussitôt aux joues. Elle ne s’attendait pas à un retour de question. Regardant Gabriel, elle s’empresse de cacher son visage entre ses mains. Elle sent une agréable chaleur l’envahir et elle ne comprend pas celle-ci. « Mais qu’ai-je fais. » dit-elle en restant caché. Il vient de la prendre à son propre jeu. Il a répondu lui et elle sent qu’elle doit répondre aussi, bien qu’elle veuille disparaître dans la seconde, s’enfouir dans le canapé. « J’en sais rien. » Ce n’est ni un oui, ni un non. « Peut-être bien. » Elle ne sait plus ce qu’elle dit, mais puisque c’est dans l’hypothétique où Jake ne serait pas marié à elle, peut-être que oui, sans doute même. Écartant ses doigts, elle pose son regard opalin sur Gabriel. Elle pas ordinaire. C’est bien la première fois qu’elle entend ça. Elle quitte ses mains pour relever son visage et le pose sur le châtain. Elle sent un pincement, c’est à se demander ce que son corps a ce soir à agir de façon si peu coutumier. « Tu parles comme si on allait se quitter. » Elle ne sait plus ce qu’elle raconte, mais elle aime pas sa façon de parler, c’est doux, gentil, mais ça sonne aussi comme un au revoir et elle ne veut pas. Elle veut le garder encore près d’elle. « C’est sur qu’on devra se dire au revoir, mais… » Elle se mord la lèvre, elle n’ose pas poursuivre sa phrase. Elle n’a pas le droit de la poursuivre. « Tu dois déjà rentrer chez toi ? Tu ne veux pas rester encore un peu ? » Elle ne répond pas à sa demande, elle pense au présent, à cet instant qu’ils partagent tous les deux. Car qui sait ce que sera fait demain et si elle pourra vraiment le revoir. Elle a bien son numéro, mais il ne lui a pas donné pour faire la causette, mais pour des urgences. « Parce que moi, je veux bien que tu restes encore. J’aime bien ta présence, je suis aussi heureuse qu’on se soit rencontré. » Elle affiche un sourire, mais il est faible, discret, presque triste, alors qu’elle a aucune raison d’être triste.
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