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 NOAH + I know every of her curves like the back of my hand.

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Noah H. DawsonFriendship is easier made than kept
Noah H. Dawson
MY BOOK COVER▹ posts : 222
▹ credits : spf (avatar) ▹ tumblr (gif)
▹ avatar : Dylan O'Brien
▹ pseudo : Mayiie
▹ multinicks : Levi (T. Hoechlin)Daryl (C. Hemsworth)Teddy (R. Reynolds)Micah (N. Jonas)Carson (K. McGrath)Jordan (S. Amell)
▹ age : Twenty-eight y.o. ▹ 30.07.91
▹ activité rp : ElenaElisaSummer


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MessageSujet: NOAH + I know every of her curves like the back of my hand.   NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. EmptyMar 19 Sep - 0:24

Noah Hayden Dawson
Je ne perd jamais. Soit je gagne, soit j'apprends.


PrénomsNoah, dérivé de Noé en français, qui signifie calme, ou apaisé. Enfin, c'est ce que Google me dit quand je le cherche sur Internet. Cependant, je ne crois pas que mes parents ont eu le même réflexe que moi en cherchant mon prénom avant ma naissance, puisque je doute fort que celui me convienne par sa signification. En fait, en cherchaient-ils vraiment une ? À voir mon second prénom, soit Hayden, ils ont sûrement choisi des prénoms neutres, qui fonctionneraient si j'étais un garçon ou une fille, il suffirait là de les inverser. Parce que si pour plusieurs, Hayden est un nom pour un garçon, moi je l'ai toujours vu pour une fille.
NomsDawson, le nom de mon paternel, celui de femme mariée de ma mère. Heureusement qu'ils n'ont pas été flemmards au point de l'utiliser comme prénom, parce que Dawson Dawson, ça craint pas rien qu'un peu. Aurais-je pu le changer légalement pour humiliation ? Visiblement, je ne le saurai jamais, puisque je n'aurai pas à le faire.
Date & lieu de naissanceIl était une fois, j’ai vu le jour le 30 juillet 1991 en pleine canicule, dans un hôpital où l’air conditionné était inexistant. Parait-il que ma mère a perdu connaissance une fois que je fus né tant elle avait chaud. Je ne peux pas lui en vouloir, puisque parait-il que la canicule à New York, même en banlieue, c’est particulièrement lourd. Je connais celle de Washington par moments et je ne veux pas imaginer les autres.
ÂgeL’année dernière, bien de mes amis se sont marrés à me dire que je venais de franchir le quart de siècle, que je me faisais vieux, que si jamais je ne me posais pas, j’allais finir vieux garçon. Cela ne m’a jamais complexé, d’autant plus que je me suis rendu compte que ce n’était là que des railleries. En effet, maintenant que j’ai vingt-six ans, je ne suis toujours pas plus posé, je ne suis toujours pas plus mature et pourtant, personne ne me fait des remarques. Si ça se trouve, j’aurais encore congé pendant quelques années, le temps que les gens trouvent des trucs débiles à dire concernant la trentaine.
MétierJ’ai deux boulots et pourtant, je ne travaille pas à temps plein et je ne suis pas débordé de quelconque façon. Le premier, et c’est celui que j’espère pouvoir faire de façon exclusive un jour, c’est bédéiste et caricaturiste. Pour le moment, je suis surtout pigiste, vendant mes oeuvres à un journal, un blog ou autre pour rapporter un peu d’argent. Mais puisque ce n’est pas suffisant, je travaille aussi comme assistant de correction à l’université, au département d’arts, le même département que j’ai quitté en juin 2016 après mes études. Mais ça, c’est surtout une couverture pour ce que je fais officieusement, soit faire du trafic de réponses aux examens. J’y ai pleinement accès, c’est un jeu d’enfant me concernant. De plus, je ne peux pas me faire accuser de plagiat, puisque je n’ai plus ces cours, je ne suis même plus étudiant officiellement.
Orientation sexuelleBisexuel de fantasme n’est probablement pas un véritable terme, mais c’est celui que je préfère utiliser pour me décrire. La vérité, c’est que je suis hétérosexuel, et je ne suis pas tant attiré par avoir une expérience avec un autre homme sauf peut-être dans le cadre d’un truc à trois, avec une fille entre les deux bien sûr, mais je suis quand même capable de passer pour homosexuel, surtout quand je suis avec Jonas. Cela me fait toujours rire de voir à quel point les gens nous pensent crédibles.
Statut civilCélibataire volage, voilà ce que je suis. Je ne cherche pas à me poser de quelconque façon, je profite de la vie, et aussi de la réputation que j’ai pour les « p’tites vites ». Faire plaisir à une femme dans une salle de bains pendant une fête, cela ne me pose nullement problème. Au contraire, la genre féminine l’apprécie grandement, puisque je ne prends pas mon temps, mais il n’en demeure pas moins que je suis capable de leur faire passer un bon moment. Enfin, suffisamment pour qu’une fois, une fille ait encore la tête qui tourne pendant de longues minutes, au point qu’elle était tombée dans la piscine. Et ça n’avait rien à voir avec l’alcool.
Statut financierÀ flot. Je ne suis pas pauvre, mais je ne me considère pas dans la classe moyenne non plus. Je suis capable de payer les quelques factures qui me sont envoyées, mais je ne pourrais pas me payer une voiture, un plus bel appartement seul, rien de tout cela. Peut-être si je me faisais un budget, ce serait plus facile, mais je ne suis pas comptable, je ne sais pas comment on fait.
Parti PolitiqueAucune préférence, même si officiellement, je ne l’assume pas. Je trouve ça beaucoup plus amusant de faire croire aux gens que je suis tantôt Républicain, tantôt Démocrate, tantôt Parti Vert, tantôt autre chose. Comment je fais ? Je trahis des opinions politiques dans mes dessins, mais ces opinions ne vont jamais dans le même sens, ne font même pas de sens parfois. De ce fait, personne ne connait mon parti politique préféré et en fait, je ne sais même pas si moi-même, je le connais.
CaractèreGeek, dynamique, entreprenant, bavard, sportif, leader, vaillant, intrépide, séducteur, intelligent, râleur, sans gêne, impatient, bagarreur, impulsif, possessif, jaloux, paranoïaque, posé, indépendant.
GroupeHoney I'm good

Combien de livres lis-tu par mois ? Quels sont tes préférés ?
Un livre sans images, avec seulement du texte ? Je crois que je n’en ai jamais lu, sauf lorsque j’étais obligé de le faire, lorsque j’étais au lycée. Et encore là, je ne le faisais pas, pas toujours en tout cas, pas lorsque je savais que je pouvais m’en tirer avec un résumé que j’achetais d’un élève brillant, parce que j’ai appris que tout le monde avait un prix. Après, ça ne veut pas dire que je n’ai jamais lu quoi que ce soit de ma vie. Par contre, je m’en suis toujours tenu aux livres qui ont des dessins. Pas besoin de faire un dessin justement pour vous faire comprendre que je lis de façon quasiment exclusive des bandes dessinées. Une BD, je peux lire ça en un rien de temps, la relire encore et toujours aussi. Mes préférées sont les bandes dessinées de Tintin. J’ai la collection complète et jamais je ne saurais m’en séparer.

Pour toi, l'amitié c'est...
C’est quelque chose que je prends tantôt à la légère, tantôt très sérieusement. À défaut d’avoir une famille que je comprends parfaitement et dans laquelle je me fonds à merveille, je compte beaucoup sur mes amis pour m’intégrer quelque part, pour me sentir à l’aise. Par contre, j’en ai gagné, puis perdu de nombreux au fil du temps. Je n’ai jamais été celui qui s’accroche de façon désespérée à des amitiés qui n’ont pas raison d’être. De l’autre côté, lorsque je m’accroche à une amitié, c’est que celle-ci veut dire beaucoup pour moi, et jamais je ne saurais m’en départir. Je ne dis pas que je suis le meilleur ami parfait, mais disons que je fais mon mieux pour l’être, parce que ces gens, aussi peu nombreux ceux-ci sont-ils, sont comme ma famille, cette famille où je me sens bien et intégré.

Quelle est la chose la plus folle qu'on a raconté sur toi ?
Il y a tellement de gens qui croient que je suis homosexuel et en couple avec mon meilleur ami, Jonas, que je ne les compte plus. Plus encore, je ne considère même plus ça comme une chose folle; j’en ai fait limite une normalité, dans le sens où je prends plaisir à leur faire croire que je suis bel et bien de l’autre côté et que Jonas et moi entretenons cette relation. Dans le même ordre d’idées, on a aussi raconté que j’avais eu le poste d’assistant à l’université parce que je suis le « wingman » préféré du professeur que j’assiste, et que je couche avec celui-ci quand il ne parvient pas à obtenir satisfaction. Je trouve adorable qu’ils trouvent une intention sous-entendue à ce que je fais, mais ils sont bien loin de la vérité.  
I. Un jour, je rêve d’avoir un appartement avec que de la peinture sur laquelle il est possible de dessiner. Ainsi, je pourrais personnaliser celui-ci autant que je veux et faire de mon logement une bande dessinée géante. II. Je suis terriblement à l’aise avec tout appareil électronique. Les ordinateurs, tablettes et téléphones portables n’ont pas de secret pour moi. Ce n’est pas pour rien que mon réseau de trafic d’examens est exclusivement sur Internet, et hautement sécurisé. III. Je ne suis pas capable de me faire pousser une barbe ou une moustache bien fournies. Il y a toujours des petits manques qui font que c’est simplement ridicule. Pour cette raison, je m’en tiens au look de la barbe de quelques jours, style que je peux garder quelque temps. IV. Je sors rarement sans un bonnet ou une casquette sur la tête. J’en ai une collection plutôt impressionnante, et je n’en ai pas acheté la moitié. V. J’aime boire de l’alcool, mais j’ai un faible pour la vodka Grey Goose, qu’importe la saveur, même si celle qui me fait vraiment craquer, c’est celle à la cerise noire. VI. Même si je ne suis pas connu pour avoir de longs rapports sexuels, ceux-ci sont quand même inoubliables. Je concentre sur l’intensité plutôt que la durée, voilà pourquoi. Les mauvaises langues peuvent se ranger; je ne suis pas un éjaculateur précoce. VII. J’ai un chat qui s’appelle Capitaine Moustache. Je l’ai trouvé dans la rue, donné un peu de nourriture, et il ne m’a pas lâché depuis. Je l’ai appelé ainsi en raison du contour de son nez blanc, tandis que lui, il est tout noir. L’ajout de Capitaine vient du fait qu’il adore se poser sur le dos du canapé et regarder les environs, comme le capitaine d’un navire. VIII. Seul ou avec quelqu’un, je dors sur le côté. Avec quelqu’un, c’est en cuillère. Quand c’est avec une fille, je prends la place de la grande cuillère. Avec Jonas, je suis la petite cuillère. IX. Je ne sais pas faire du vélo. Enfin, c’est ce que je dis, mais la vérité, c’est que je n’ai pas voulu en refaire depuis mes six ans. Je crois que je suis en fait traumatisé par l’accident de mes parents et je n’arrive pas à me l’avouer. X. Toutes les banalités du quotidien peuvent devenir une histoire à mes yeux. Je crois que tout est dans la façon de raconter la dite banalité qui change les choses. XI. Je suis gaucher, ce qui est loin d’être pratique pour dessiner, mais je fais avec, puisque j’ai su m’adapter. Certains trouvent que je dessine avec une drôle de posture, mais ce n’est pas grave. XII. Je sors la langue lorsque je me concentre. XIII. Je fais au moins deux sinusites par année, et pas lorsque c’est un changement de saison. J’ai tendance à les avoir aux moments les plus inusités. XIV. Je mange beaucoup trop de pâtes, parce que c’est une des rares choses que je sais cuisiner. Au moins, je sais un peu comment les varier. XV. Je tape du pied lorsque j’éternue. XVI. Je ne sais pas claquer des doigts ni siffler. XVII. J’ai plus de porte-clés que de clés, parce que lorsque je reçois un porte-clé, bidon ou pas, je l’ajoute au trousseau et je ne fais jamais le tri. XVIII. J’adore écouter du Dub Step, c’est mon plaisir coupable. XIX. Je dis que je préfère les transports en commun à la voiture, mais c’est faux. En fait, j’ai juste honte de conduire le minivan de ma tante et je n’ai pas les moyens de me payer une voiture. XX. Je ne suis pas un grand danseur, mais je suis capable de faire un moonwalk impeccable. XXI. Je suis allergique aux aspirines. Lorsque j’ai mal au crâne, je me prépare un smoothie maison un peu louche. C’est pas bon, mais ça marche. XXII. Je dois porter des lunettes quand je regarde un écran. Histoire de ne pas les perdre ou les oublier, je les porte presque tout le temps.
Prénom : Marilyne. Pseudo sur le net : Mayiie. Âge : Vingt-six ans. Pays : Canada. Célébrité : Dylan O'Brien. Scénario, inventé ou pré-lien ? Scénario. Comment as-tu découvert le forum ? De la même façon que Levi et compagnie. Quelles sont tes premières impressions ? Alice, tu es le diable incarné Je l'aime très fort NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 2157058912. Crédits : Cranberry et Tumblr. Un petit mot pour la fin ? Je vous aime très fort surtout. pink

Code:
<pris>DYLAN O'BRIEN</pris> ► Noah H. Dawson


Dernière édition par Noah H. Dawson le Mar 19 Sep - 0:26, édité 1 fois
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Noah H. Dawson
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MessageSujet: Re: NOAH + I know every of her curves like the back of my hand.   NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. EmptyMar 19 Sep - 0:24

The story of my life
Citation qui représente le personnage ici


 « Alors, comme je vous dis, pour la huitième fois aujourd’hui… » Huit fois, et sept de trop à mon avis. Qu’est-ce qu’il y avait de si difficile à comprendre la première fois ? Ce n’était pas comme si l’enseignante était incompétente ou quelque chose dans le genre. Au contraire, elle était beaucoup mieux que celle que j’avais eue l’année dernière, qui s’acharnait sur ma personne, constamment, parce que selon elle, je n’écoutais pas, je ne comprenais rien. Là, cette année, elle ne s’occupait tant pas de moi. Parce que bien souvent, je restais tranquille, même si je n’écoutais pas. Tant que je lui foutais la paix, tout allait pour le mieux. Mais il n’en demeurait pas moins que le temps était long, surtout pendant ce temps où je ne ressentais plus le besoin d’écouter pour comprendre. Parfois, j’avais envie de me lever, de lui dire « C’est bon, j’ai compris ! C’est pas compliqué ! » mais je me ravisais, parce que je ne voulais pas des ennuis. À la place, je faisais les exercices demandés, mais là, tout de suite, tout était terminé. Que pouvais-je faire ? Je regardai Adam, qui était là, un peu plus loin, qui semblait s’ennuyer autant que moi, même si lui, il n’allait pas les faire, les exercices. Il ne faisait jamais rien, d’où le fait que même s’il était mon ami, pour faire un travail en classe, ce n’était pas l’idéal, parce que tout ce qu’il voulait, c’était avoir mes réponses, gratuitement, sans que je reçoive quoi que ce soit en retour. Ça m’énervait, parce que je n’étais pas là pour travailler à sa place. Mais là, peut-être saurait-il se montrer un peu utile et me divertir quelque peu ? Refusant de me poser la question que simplement, je décidai de passer à l’action; je pris une feuille de papier dans mon pupitre, et j’y écrivis « Ennui total, on fait quoi ? ». Je la roulai en boule, et je m’apprêtai à discrètement lui lancer pendant que l’enseignante avait le dos tourné, mais avant que je ne puisse le faire, j’entendis, depuis le haut-parleur de la classe:  « Noah et Christian Dawson, veuillez vous présenter au bureau maintenant, s’il vous plait. » Pourquoi ? Comment ? Soudainement, tous les regards se posèrent en ma direction, pour une fois, je n’avais rien fait qui méritait d’être réprimandé…  « Prends toutes tes choses, l’école est bientôt terminée. » Avions-nous une rencontre avec la directrice et nos parents ? Si oui, pourquoi ? Plein de questions dans la tête, je rangeai mes affaires dans mon sac, prit mon sac à goûter dans mon casier de même que ma veste, et je me rendis au bureau. En chemin, je croisai Christian, qui venait de sortir de sa propre classe, chez les plus vieux. Ce fut sans un mot que nous nous dirigeâmes ensemble vers le bureau et pourtant, ce n’était pas parce que nous n’étions pas bavards d’habitude. Lui comme moi ne savions que dire, que penser de tout cela. Nous avions beau avoir respectivement six et neuf ans, nous savions quand on avait fait une bêtise, et quand on n’avait rien fait, rien qui valait le coup d’être puni en tout cas. Des points d’interrogation au front, nous arrivâmes au bureau, et rapidement, on nous conduisit dans le bureau de la directrice, qui nous attendait, visiblement, avec une autre femme qu’on ne connaissait pas, mais que visiblement, nous allions bientôt connaitre, au vu de comment elle nous dit, sans attendre:  « Les enfants, je vous présente madame Conway, elle est assistante sociale. » Une assistante sociale ? Que faisait-elle ici ? Étions-nous de si mauvais enfants ? Pourtant, non. Christian et moi avions beau être bruyants, jamais nous avions été maltraités, jamais nous avions eu des problèmes avec nos parents, me semblait-il. Mais clairement, nous n’étions pas au bout de nos surprises. Après que la directrice nous ait invités à nous asseoir, elle alla fermer la porte, tandis que l’assistante sociale restait avec nous deux, nous regardant d’un air grave.  « Noah, Christian… J’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer les garçons. » Elle marqua une pause, ne nous aidant certainement pas à nous calmer. Elle baissa le regard, puis elle nous regarda de nouveau, pour dire:  « Vos parents ont eu un accident à moto, ce matin… »  « Mais… Est-ce qu’ils vont bien ? » La dame ne parvint pas à réponse, se contentant de secouer la tête, gardant un air grave, un air qui voulait dire que quelque chose n’allait pas. D’instinct, je pris la main de Christian, comme pour lui donner du courage, mais pour m’en donner à moi aussi, surtout.  « Vos parents… Sont décédés après l’accident… » Décédés ? Qu’est-ce que cela voulait dire ? Moi, je ne le savais pas, mais apparemment, Christian, oui, puisque sitôt, il laissa échapper un sanglot. Confus, je regardai encore la dame, qui dit:  « Vous ne les verrez plus… » Et là, moi aussi, je compris, et j’eus les larmes aux yeux également. Mon coeur se fit lourd, mes jambes se recroquevillèrent vers ma poitrine d’elles même, sans que je ne songe à le faire moi-même. Incapable de regarder la dame plus longtemps, lui en voulant limite de ne pas montrer plus se compassion, je baissai le regard, entendant à peine la suite, ce qui se passerait avec nous, qui allait s’occuper de nous. Je ne voulais plus entendre quoi que ce soit, tout ce que je voulais à ce moment-là, c’était voir ma mère nous attendre à la sortie de l’école, même si je n’aimais pas qu’elle m’embrasse sur le front quand on arrivait. Mais ça n’arriverait plus, plus jamais. Comment étais-je supposée prendre ça ? En silence, je commençai à pleurer, me collant sur mon frère, la seule famille qui me restait désormais.  

Le trajet entre l’école et la maison se fit dans le silence. Un silence lourd, un silence inconfortable, un silence qui me donnait envie de hurler. Mais recroquevillé sur moi-même, à l’arrière de la voiture de ma tante, je ne disais mot. Avec toutes mes forces, je me retenais de pleurer, de commencer à crier des injures, ou faire quoi que ce soit qui serait susceptible d’empirer mon cas. Normalement, je ne m’en faisais pas tant, limite j’avais l’habitude de rentrer à la maison avec ma tante plutôt qu’en autobus parce que j’avais raté celui-ci, parce qu’un de mes enseignants avait décidé de me retenir ou quelque chose dans le genre. Mais là, je savais que c’était pire, je savais que ce ne serait pas qu’incident qui serait rapidement oublié et sans conséquences. Cette fois-ci, je n’allais pas retourner en classe comme si de rien n’était. Demain, je n’irais même pas en classe, parce que l’école avait décidé de me suspendre. Trop de réprimandes, trop d’avertissements, voilà quel était mon châtiment. Est-ce que je le méritais ? Selon moi, pas du tout. Peut-être un peu, mais pas de quoi mériter une suspension qui ferait éventuellement une note à mon dossier. Selon mon enseignant ? La direction ? Évidemment que je le méritais. Je le méritais parce que j’étais idiot, je le méritais parce que je n’écoutais pas, je le méritais parce que j’avais fait un dessin que l’enseignant avait trouvé offensant, alors que ce n’était même pas de lui dont il était question. Il était question de qui alors ? D’un personnage, sorti droit de mon esprit. Bon d’accord, peut-être s’inspirait-il de ce personnage réel qu’était cet enseignant de mathématiques, mais quand même, ce n’était pas pareil, pas dans ma tête. Mais ça, personne ne voulait le comprendre, personne ne voulait me donner raison, personne ne voulait même pas me laisser ne serait-ce que le bénéfice du doute. Pourquoi ? Parce que j’étais un idiot, parce que je n’écoutais jamais, parce que je ne méritais pas d’être dans une classe, voilà ce qu’on semblait dire de moi. Pire encore, on semblait se frustrer, parce que j’étais capable de ne pas échouer un cours sans problème. Je détestais ce sentiment, mais j’avais le sentiment que je ne pouvais rien y faire, et c’était encore vrai ici et maintenant. Ma tante était gentille, elle avait bien souvent pris ma défense, mais là, elle devait être certainement dépassée, impuissante. Histoire de ne pas augmenter son fardeau, je me tus donc. Une fois que nous fûmes à la maison, je pris mon sac à dos, et je me rendis dans ma chambre, sans tenir mot. Ayant juste envie de disparaitre, je me glissai sous ma couette, comme pour me faire une petite tente, où je pourrais m’isoler et oublier ce qui s’était passé, même si c’était loin d’être gagné. En fait, si je pouvais rester tranquille, ce serait déjà un bon début. Par contre, je n’eus même pas droit à ce maigre début. Trop rapidement, quelqu’un vint frapper à la porte, me faisant sursauter, trahissant ma cachette, même si celle-ci était bien évidente. Persuadée que c’était Christian qui était là pour me narguer, parce que pour lui, tout allait pour le mieux, j’étais sur le point de lui demander de me foutre la paix, mais ce fut plutôt une voix féminine qui s’éleva, pour me dire:  « C’est pas une super tente que tu viens de faire là. » Cette voix, c’était celle de Carter, probablement celle qui était la moins indésirable en ce moment. Abaissant ma garde donc, je sortis la tête de la couette pour la regarder. Elle ne semblait pas vouloir se moquer de moi ou quoi que ce soit. Avait-elle su ce qui s’était passé ? Avait-elle était envoyée par sa mère pour me réconforter ? Avant que je ne puisse lui poser la question, elle s’approcha, m’obligeant de sortir complètement de la couette, puisqu’elle l’avait tirée, m’arrachant un grognement de mécontentement, encore plus évident quand elle partit. En guise de réaction, je marmonnai:  « T’es pas obligée de te… » Mais avant que je finisse mes propos, elle revint, avec des draps, des épingles, bref, tout le nécessaire pour créer une tente beaucoup plus forte, beaucoup plus grande. Pour la première fois depuis le début de la journée, un petit sourire se forma sur mes lèvres. Les tentes avec des draps, c’était quelque chose que j’avais découvert en arrivant ici. Avec Christian et Carter, on en faisait souvent quand nous étions arrivés ici, c’était notre petit havre de paix, ce petit monde où nous étions seuls, où on oubliait nos problèmes. Voilà un moment que nous n’en avions pas fait, mais là, je n’avais pas le courage de dire que c’était fait pour les enfants, parce que là, je devais avouer que j’en avais besoin. Un air reconnaissant au visage, j’aidai Carter à créer ce fameux château-fort avec les draps. Il n’y avait pas de pont-levis, il n’y avait pas de tour spéciale, mais c’était suffisant pour transformer ma chambre en un palais de tissu et de sérénité, assez grand pour deux. Assis en indien devant Carter, je lui souris doucement. Comme ça, en ne disant absolument rien, elle était parvenue à me remonter le moral, ce que personne n’avait réussi à faire avant elle. Mais est-ce que ce serait assez pour effacer mes déboires à l’école ? Certainement pas, mais c’était un meilleur début que tout autre chose, tellement que je pris confiance en cette démarche, et timidement, je lui demandai:  « Tu crois que je peux la garder pour demain ? » Je n’étais pas tant convaincu que ma tante allait accepter, mais elle n’était pas du genre à entrer dans notre chambre sans permission, donc dans le pire des cas…  « Promis, je ne dirai rien. » Persuadé maintenant que je ne serais pas grillé, je souris de nouveau, profitant de cet instant sous la tente en compagnie de Carter, le coeur désormais plus léger.

 « Noah, n’oublie pas tes médicaments. » Je dus faire un effort surhumain pour ne pas rouler les yeux et ainsi, faire preuve d’impolitesse envers ma tante, qui avait eu la bonté de venir me déposer à l’école pour ma première journée. Non pas ma première journée au primaire, au collège ou au lycée, ma première journée à l’université. Apparemment, pour elle, c’était important de venir m’y déposer, comme si je ne me débrouillais pas dans le métro, comme si je ne savais pas conduire. Ou bien était-ce là un manque de confiance envers moi, un manque de confiance selon lequel je pourrais partir sans mes pilules destinés à mieux me concentrer ? Je ne savais pas trop, mais une chose était sûre dans ma tête, c’était que si c’était là son explication, alors je savais que ces pilules n’auraient pas fini de gâcher ma vie. Jusqu’à maintenant, jamais personne n’avait cru bon m’en prescrire, et j’étais passée au travers de toutes les institutions scolaires sans en avoir besoin. Pourquoi c’était différent ? Pourquoi c’était devenu nécessaire ? Le pire dans tout cela, c’était que la première fois que j’avais essayé d’en prendre, ç’avait été tout sauf une amélioration me concernant. Je m’étais retrouvé à fixer la même chose pendant ce qui m’avait paru une éternité, et je ne me rappelais plus de quoi que ce soit. J’avais donc tenté de les évincer, retrouver mon état normal, mais ça n’avait pas été possible, parce que ma tante le savait maintenant, et là, elle insistait pour que je les prenne en tout temps avec moi, histoire que je puisse avaler un cachet avant mon cours. Allais-je le faire ? Certainement pas. Allait-elle compter les cachets à la fin de la journée ? Fort probablement. De ce fait, il me faudrait me débarrasser du nombre nécessaire, même si je ne savais pas encore comment, puisque je n’étais pas reconnu pour être le plus subtil et faire comprendre mes histoires. Sachant que j’avais encore un peu de temps, au moins, je me rendis à mon premier cours avec mon sac sur l’épaule. J’entrai dans l’amphithéâtre où avait lieu mon premier cours de la journée, m’installai à l’arrière, dans un coin. Puis tandis que tous les autres élèves sortaient leur ordinateur, tablette et autre pour prendre des notes, moi, je sortis qu’un banal cahier et un fusain, commençant à dessiner. Je dessinai le professeur qui se trouvait en avant, l’élève aux allures parfaites dans le coin qui n’appartenait pas à cet endroit, qui aurait dû être dans une université de la Ivy League, mais qui avait été recalé pour une raison ou pour une autre. Je voulus dessiner également la fille qui s’était installée à côté de moi à un moment donné, sans que je m’en rende compte. Mais avant que je m’y mette, je me rendis compte que quelque chose me perturbait chez elle. Ce n’était pas son apparence, elle était plutôt jolie, suffisamment pour que peut-être je vienne à l’aborder, mais je ne l’osai pas, pas dans le sens que je pensais dans un premier temps. Pourquoi ? Parce qu’elle était crispée, tendue, nerveuse, à un tel point que je n’étais même plus confortable. Me devrais-je d’intervenir ? J’hésitai pendant un petit instant, et au final, puisqu’il y avait un temps mort dans le cours, je crus que c’était le moment ou jamais de lui demander, en chuchotant:  « T’as un problème ? » La fille me regarda comme si j’étais un extraterrestre, regarda mon cahier, regarda son ordinateur, et je vis ses mains qui commencèrent à trembler. Elle secoua la tête, commença à chuchoter:  « Je ne peux pas, je ne peux pas… » Je fronçai les sourcils, sans rien dire, et pour une fois, elle m’accorda un regard, vit mon air interloqué, et se mit à paniquer encore plus. Les larmes lui montèrent aux yeux, et en s’affalant sur sa chaise, elle finit par dire:  « J’ai tellement à faire, je n’arrive pas à me concentrer… Je n’y arriverai pas… » Même si je ne connaissais pas cette fille, j’eus un sourire triste, triste de voir que certaines personnes étaient si stressées pour un simple cours d’introduction au dessin. Et après, c’était moi qui se retrouvait avec… Tout à coup, mes yeux s’écarquillèrent, et j’eus une idée de génie. Discrètement, une fois que je me fus assuré que personne ne regardait, je sortis mon flacon de pilules, en pris une, et je la calai dans la paume de ma main. J’attirai de nouveau l’attention de la fille, puis sous la table, je lui montrai la pilule en lui chuchotant:  « Tu la veux ? » Elle regarda la petite pilule blanche, me regarda, regarda de nouveau la pilule, et dans un geste de désespoir, elle prit le cachet et l’avala, comme ça, sans eau, juste à temps pour que le cours reprenne. Pendant l’heure qui suivit, elle ne sembla nullement stressée. Au contraire, elle était on ne peut plus posée, attentive comme pas deux. Elle semblait fixer le professeur, mais elle, ça ne semblait pas la gêner. Était-ce ce qu’elle attendait depuis le début ? Très certainement, et tant mieux pour elle. Tant mieux pour moi aussi en fait, parce qu’ainsi, je m’étais débarrassé de mon premier cachet sur deux en aidant quelqu’un. Pour moi, c’était assez satisfaisant, alors je ne pensai pas un seul instant qu’il pourrait y avoir un autre bénéfice. Je m’en rendis compte que lorsqu’à la fin du cours, la demoiselle me prit à part pour me remercier en mettant dans ma main un billet de vingt dollars. Confus, je voulus la rattraper pour le lui redonner, mais je ne pus le faire. Je me retrouvai alors avec ce billet, me rendant compte petit à petit que non seulement, je venais de me rendre service en rendant service, mais plus encore, je venais de me faire de l’argent avec tout cela. Était-ce là une exception, ou bien ça pourrait se reproduire ? Je ne savais pas trop, mais une chose était certaine, c’était que je venais de tenir quelque chose qui pourrait bien m’épargner les cachets, quelque chose susceptible d’être profitable et rendre l’université beaucoup plus agréable que je ne l’aurais cru dans un premier temps.


 « Dawson ! Lâche tes dessins, tu as soixante copies à corriger pour lundi ! » Et c’est la première fois qu’il me le dit, alors que nous étions vendredi ? Pourquoi ne m’avait-il pas donné son échéancier avant ? Pourquoi avait-il un échéancier d’abord ? Lorsque j’étais assis en classe, jamais on devait s’attendre à recevoir un examen rapidement… À moins que c’était parce que bien souvent, j’étais absent le jour de la remise ? Enfin, ça, ce n’était plus mon problème, parce que même si j’étais encore entre ces murs, je n’étais plus un étudiant, mais un simple assistant, un correcteur. C’était beaucoup plus tranquille, je n’avais pas de note au bout, mais plutôt un salaire, salaire dont j’avais lamentablement besoin, parce qu’autrement, jamais je ne pourrais faire quelque chose de façon indépendante, j’en avais l’impression. Mes dessins envoyés aux blogs et journaux ne me rapportaient pas assez pour le moment, d’où le fait que je devais tant m’appuyer sur ma roue de secours qu’était ce boulot connexe. C’était chiant, ça ne me faisait pas plaisir, mais c’était mieux que rien du tout. Et puis, compte tenu que ce professeur n’était plus le mien et que c’était l’université qui me payait et pas lui, je pouvais finalement me permettre de rouler les yeux, et ne pas me sentir complexé à l’idée qu’il me voie. Parce que même s’il me voyait, j’en étais arrivé au stade de ma vie où je m’en moquais complètement, et c’était très bien comme ça. Mais sachant toutefois que je pourrais réellement avoir des ennuis si je ne terminais pas ces corrections à temps, au vu de la rigidité du personnage, je décidai de laisser de côté le dessin que je devais rendre sous peu aussi, pour le journal de la faculté d’arts. Au pire, un dessin, ça se faisait rapidement, et pour moi, ça ne demandait nulle motivation. Ça venait tout seul, c’était un plaisir à faire. Voilà pourquoi je voulais faire ça pour gagner ma vie, même si là, clairement, c’était loin d’être parfait. Mais devant me bouger si je voulais y parvenir, je tentai de me concentrer, et j’attrapai la première copie qui se trouvait sur le bureau qu’on m’avait assigné. Je commençai par une, enchaînant avec une seconde, puis la troisième. Je ne sus pas combien de temps s’était écoulé quand je terminai d’attribuer la note sur la dixième copie, mais j’étais persuadé que c’était trop long pour que je continue plus longtemps sans prendre une pause. Certains correcteurs parvenaient à travailler sans relâche, mais moi, je n’y parvenais juste pas, ce n’était pas possible. De plus, une pause, ça ne me ferait pas de mal, ça ne faisait de mal à personne. Par réflexe, je pris mon ordinateur pour consulter mes messages. D’abord les banalités à supprimer, une publicité pour un médicament susceptible de faire grossir ma virilité, un message de la part d’une fille avec qui j’avais passé un petit moment la semaine précédente, un message de Carter avec les dernières informations concernant sa grossesse et finalement, un dernier message, avec un titre bidon, et un contenu bien court, soit: Watkins. 13.10. ART2001. 1/2. #2. N’importe qui pourrait penser que c’est là un message indésirable, mais pour moi, c’était le genre de message que j’adorais recevoir, puisqu’ils représentaient mon troisième gagne-pain, celui dont personne n’était au courant, et probablement le plus lucratif, surtout à cette période de l’année. En effet, ce message, il me demandait un truc bien précis; la réponse à la question #2 de l’examen de mi-semestre de M. Watkins, qui aurait lieu le 13 octobre. Je le comprenais parce que c’était ainsi que je fonctionnais depuis quelques semaines maintenants, et à date, aucune faille, et c’était parfait comme ça. Déterminé à ce que ça n’arrête pas, je me mis tout de suite au boulot. C’était le moment idéal, puisqu’il n’y avait personne dans la salle. Prétextant devoir me rafraichir la mémoire dans un document, je me rendis dans le classeur des corrigés, puis je consultai discrètement celui qui m’intéressait. Une fois que ce fut fait, je retournai à mon ordinateur, déjà connecté sur un réseau sécurisé à partir de mon téléphone, puisque je refusais que quiconque le moindrement moins doué que moi en informatique soit capable de voir ce que je faisais. J’entrai les éléments de réponse - et non la réponse en entier, sinon c’était trop perceptible - que je codai pour le rendre plus sécuritaire. Une fois que ce fut chose faite, je renvoyai un message tout aussi codé, indiquant le mot de passe pour le transfert bancaire, le mot de passe pour la réponse, et toutes les informations nécessaires, y compris celle selon laquelle la réponse ne se débloquera pas tant que le transfert ne sera pas fait. Au total, mon message fit environ vingt mots, deux cents caractères, et je n’en avais pas besoin de plus. Satisfait de mon coup comme à chaque fois, je pris encore une minute, le temps de répondre à ma cousine Carter un message taquin, qui disait en gros :  « T’es sûre que t’es pas en train de faire le décompte jusqu’au moment où tu vas exploser ? Arrête de manger, sinon c’est un bébé en chocolat que tu vas mettre au monde Wink » Sur ce, j’envoyai le message avec un petit sourire, puis je fermai mon ordinateur pour reprendre mes corrections, tentant de me réconforter avec cette petite entrée d’argent que je venais de faire, dans l’espoir qu’un jour, tout sera suffisant pour que je puisse vraiment voler de mes propres ailes, comme jamais je n’avais eu l’impression de le faire avant.
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MessageSujet: Re: NOAH + I know every of her curves like the back of my hand.   NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. EmptyMar 19 Sep - 1:24

Moi le diable c'est pas vrai !!!! Faut pas me parler c'est tout NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 1647600651
Merci d'avoir choisi de prendre mon Noah NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 3638725627 NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 3638725627 NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 3638725627 Je sens qu'on va bien s'amuser que ce soit avec Carter ou Jonas quand il sera là NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 2103103665 NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 3779366458

Rebienvenue chez toi NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 2157058912 et puis Dylan NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 4035568277
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Bon courage pour ta fichette !! Si tu as la moindre question tu sais où me trouver NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 3832776537
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MessageSujet: Re: NOAH + I know every of her curves like the back of my hand.   NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. EmptyMar 19 Sep - 2:41

REREREREBIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE !!! string

Excellent choix évidemment xD

Bonne chance pour cette nouvelle fichette ! NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 2167087755
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MessageSujet: Re: NOAH + I know every of her curves like the back of my hand.   NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. EmptyMar 19 Sep - 9:52

Rebienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuue NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 2953213569 NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 2953213569 NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 2953213569 NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 2953213569 NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 2953213569
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MessageSujet: Re: NOAH + I know every of her curves like the back of my hand.   NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. EmptyMar 19 Sep - 10:52

Rererererererererererere bienvenue NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 3098456550 Bon j'exégère mais je sais plus à combien t'en es toujours est-il que c'est un superbe choix de scénario ! Réserve moi un lien avec Alec du coup, et d'autres si tu veux des coupaing ! NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 153952350
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MessageSujet: Re: NOAH + I know every of her curves like the back of my hand.   NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. EmptyMar 19 Sep - 20:44

Re-bienvenue avec le beau Dylan! NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 3638725627
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MessageSujet: Re: NOAH + I know every of her curves like the back of my hand.   NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. EmptyMar 19 Sep - 21:12

Re-bienvenue chez toi NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 3832776537
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MessageSujet: Re: NOAH + I know every of her curves like the back of my hand.   NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. EmptyMer 20 Sep - 9:06

Rebienvenue, bon courage pour ta fiche ! NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 2157058912
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MessageSujet: Re: NOAH + I know every of her curves like the back of my hand.   NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. EmptyJeu 21 Sep - 1:22

Re x8 Bienvenue ♥️

Courage pour ta fiche ma choupette en sucre NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. 3366721850
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MessageSujet: Re: NOAH + I know every of her curves like the back of my hand.   NOAH + I know every of her curves like the back of my hand. Empty

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